LE NOUVEAU PETIT LIVRE DE FRAMBOISE A FAIT LE BUZZ SUR FRÉQUENCE PLUS ! !

Le témoignage de Karine DE LUCA / AVOCAT






Ce 8e petit livre rouge ...

Ce 8e petit livre rouge ...parle d'un évènement douloureux: les violences sexuelles faites aux enfants. Près d'un enfant sur cinq est victime de violence ou d'abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant : la clé est de bien communiquer avec lui, de PARLER VRAI dans un climat de confiance. La sexualité est encore un sujet tabou. Si aborder ce sujet avec votre enfant vous embarrasse, ce petit livre vous sera utile ...car il vous offre des clés pour apprendre à l'enfant à se protéger et à oser dire « NON ! ». Il s'adresse à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.Il parle à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus « notre enfant intérieur ». Les mots, plutôt que les maux !

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8. JE NE VEUX PLUS ALLER A L'ÉCOLE - THÈME : Les violences sexuelles faites aux enfants -

12 € + 1 € expédition -livraison
Si vous souhaitez une dédicace, écrivez le prénom ICI !

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Vous pouvez aussi utiliser ce bulletin de commande à imprimer :

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Post du mois à lire , après la présentation des petits livres rouges !


Les mots, plutôt que les maux !

Bienvenue dans l'univers des petits livres rouges de FRAMBOISE !

Des petits livres rouges pour « parler vrai »...
Ils racontent l'histoire vécue par un enfant
Ils parlent de la vie - naissance, secrets de famille, séparation , divorce, maladie, mort, identité, déménagement, jalousie...
Ils sont des outils de communication
Ils offrent des pistes de réflexion
Ils interpellent nos émotions.

Ils s'adressent à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.
Ils parlent à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus
« notre enfant intérieur ».

Je vous invite à découvrir la collection ci- après

FRANÇOISE POULET alias FRAMBOISE


pour tout renseignement ( PAR EX.envoi en nombre ,édition de facture ou autre ), me contacter par tel . +33 684868770 ou par mail : framboise.editions@orange.fr
Merci !





2 .le rhume de hanche; thème : le divorce* 12€+ 1€ expédition -livraison

LE RHUME DE HANCHE - livre n°2 - THÈME : le divorce- 12€ + 1€ expédition -livraison

3. Il est perdu mon papa ; thème : la mort d'un proche * 12€ + 1€ expédition -livraison

IL EST PERDU MON PAPA - livre n°3- THÈME : la mort d'un parent -la maladie grave - 12 € + 1 € expédition -livraison

4 . MON NOM DE FAMILLE : connaître ses origines, son identité * 12€ + 1€ expédition -livraison

MON NOM DE FAMILLE - livre n°4- THÈME : l'identité, connaître ses origines - 12 € + 1 € expédition -livraison

5. La maison de papa ; thème : le déménagement * 12€ + 1€ expédition -livraison

LA MAISON DE PAPA - livre n°5- THÈME : le déménagement - 12 € + 1 € expédition-livraison

6. MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - Thème :le cancer de l'enfant -

MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - livre n°6 - THÈME : le cancer de l'enfant - leçon de vie face à la maladie - 12€ + 1 € expédition -livraison

7. LA PETITE SœUR ; THÈME : LA JALOUSIE DANS LA FRATRIE * 12 € +1 € EXPÉDITION -LIVRAISON

LA PETITE SœUR - livre n° 7 - THÈME : la naissance d'un enfant est une épreuve pour chacun au sein de la famille ; c'est un chamboulement pour l'aîné -assailli d'émotions diverses - relégué au second plan par le nouvel arrivant . Un nouveau regard sur la jalousie pour mieux comprendre ce qu'un enfant peut traverser.- 12 € + 1 € expédition- livraison .

1. LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL ; Thème : la naissance, un secret de famille...

le premier petit livre rouge
N'EST PLUS EN STOCK ! :
" LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL " THÈME : secret de famille, secret de naissance...
RÉÉDITÉ PLUSIEURS FOIS ...MAINTENANT ÉPUISÉ!

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LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL

JE SUIS À VOTRE ÉCOUTE...

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Après la présentation des petits livres rouges, voici le blog !



LE POST DU MOIS.

Etes-vous un parent "hélicoptère " ??

  Être un « parent hélicoptère », c’est une image pour décrire le parent qui semble toujours « voler » au-dessus de son enfant pour préve...

mardi 1 mars 2016

*MANGE TA SOUPE ET ...TAIS -TOI ! une autre approche des conflits parents-enfants( 1e partie )...




  • Michel Ghazal, Dr en gestion est  licencié en sciences économiques et en droit , président du centre européen de négociation , de dialogue méditation et de médiateurs sans frontières :expert de la négociation , gestionnaire de conflits dans différents domaines .Il est auteur d'une méthode qu'il a   appliquée au "métier " de parent .
  • Son livre : Mange ta soupe et ...tais-toi ! Éditions du Seuil

  • le principe fondamental: éduquer ce n'est pas dresser ,alors qu'écouter et imaginer ensemble , sans céder , c'est préserver l'avenir autant que le présent .: il s'agit donc d'une  méthode de gestion des conflits basée sur la reconnaissance et le respect de l'enfant: l'enfant est une personne .
  • Méthode utile au quotidien que chacun adaptera à sa personnalité : en vous proposant des outils vous permettant de répondre à la situation particulière qui se pose à vous , l'objectif ultime étant de réussir l'éducation des enfants , devenir "des parents acceptables "



*cette méthode est basée sur ces POSTULATS À PROPOS DE L'ÉDUCATION ET DES RELATIONS PARENTS-ENFANTS :
  • 1. un enfant est avant tout un enfant ; c'est une erreur d'exiger de lui qu'il ait la maturité d'un adulte .
  • 2.les parents -les adultes – sont au service des enfants  pour les aider à devenir adultes ; ils ne sont en aucun cas leurs maîtres .
  • 3. l'enfant  a besoin d'être protégé par ses parents pour se sentir en sécurité , il a également besoin de se sentir aimé d'eux.
  • 4. il faut encourager l'enfant  à développer sa propre volonté et non là lui ôter .
  • 5. il faut l'aider à devenir autonome et à accepter ses propres émotions et sentiments .
  • 6.obtenir l'obéissance par la force ( menace, chantage , violence , pression psychologique, manipulation , mensonge etc..) et non par un consentement réciproque est une erreur. Utiliser son pouvoir sur l'enfant  pour l'obliger à faire ce qui est contraire à sa volonté est foncièrement injuste car le parent agit alors comme juge et partie.
  • 7.l'enfant a une perception du monde , de la situation , du problème posé, de lui-même , de vous totalement différente de la vôtre et qui , à ses yeux , représente LA VÉRITÉ .Il faut accepter l'idée que , pour l'enf, ce qu'il fait se justifie pleinement .
  • 8. l'enfant  est une personne à part entière qui demande à être respectée et qu'il faut respecter. Son point de vue est à prendre en compte car il a besoin de reconnaissance , toute action visant à l'humilier ou lui faire perdre la face le vexera profondément; il n'aime pas se sentir perdant , il ne faut pas qu'il perde.
  • 9.qu'il soit enfant  unique ou avec des frères et sœurs , il attend de vous équité et justice ; votre rôle est d'être soit arbitre -trancher en rééquilibrant les forces en présence -soit médiateur : trouver une solution équitable au conflit.
  • 10.les tout-petits ne peuvent pas concevoir l'avenir ; ils sont dans l'immédiateté : très difficile pour eux de leur expliquer et de leur faire admettre tout ce que l'adulte place dans le futur ..demain ou la semaine prochaine ou encore plus tard !..il a besoin de supprimer tout obstacle entre lui et la réalisation immédiate de son désir.
  • 11. chaque enfant est un être singulier , il n'y a pas d'enfants  identiques même engendrés par les mêmes parents. Toute comparaison entre eux est préjudiciable : c'est un effort de compréhension considérable de la part des parents.
  • 12. il faut faire confiance à l'enfant  ; les parents doivent partir du principe qu'il va réussir dans la vie : l'enfant a besoin de cette confiance pour affronter le monde avec succés .
  • 13.contrairement à ce que supposent beaucoup  de parents , l'enfant aime vivre avec ceux de son âge ; être en permanence avec les parents ne l'intéresse pas outre-mesure même s'il l'exige parfois.
  • 14.il ne faut pas confondre éduquer et dresser .Fouet et morceaux de sucre transforment l'enfant  en animal de cirque . Ainsi privé de sa propre expérience , il n'aura de cesse de le regretter.


  • 2 réflexions essentielles :
  • 1. le parent négociateur
  • 2. le parent médiateur .
    * 1.le parent négociateur ou l'art de gérer les différences:
    ° face aux conflits, vous parents êtes démunis et impuissants car votre tentative de raisonner l'enfant  échoue et malgré vos efforts , il n'obtempère pas : la situation se révèle complexe et difficile ; résultat : vous êtes tendu , désemparé, angoissé , , vous perdez confiance dans votre rôle de parent et les enfants  sont perturbés par vos doutes qu'ils perçoivent très bien .

    °En 1e lieu ; repérer et être conscient des réponses apportées habituellement et analyser en quoi elles sont efficaces ou non :
    • Cas classique de l'enfant  qui refuse de terminer son assiette , ou de dire bonjour , ou de s'habiller avec les habits préparés ou d'aller au lit , ou plus tard qui veut sortir avec ses copains quand il veut , qui parle des heures au téléphone , qui ne veut pas ranger sa chambre , bref ..des situations quotidiennes de conflit!

    • « à nous 2 maintenant » , voyons qui est le plus fort .Soumettre l'enfant  en usant de son pouvoir de parent pour lui faire "avaler" le reste de l'assiette est une  épreuve de force qui conduit à un échec total .Posez vous la question de savoir ce que vous ressentiriez si quelqu'un vous obligeait à effectuer une tâche qui vous déplait fortement! Toute action autoritaire engendre généralement une résistance plus  forte que celle qu'elle veut faire fléchir ...différence entre autorité et autoritarisme.

    • « tes désirs sont des ordres » Céder et laisser tomber. A l'opposé du recours à la force : le laxisme .Céder aux caprices de l'enfant est  très mauvais pour l'avenir ! Message reçu : il me suffit d'insister , de hurler plus fort encore , d'être impossible pour avoir gain de cause .Céder est  une prime à l'inconduite ! Le parent est alors un  modèle négatif pour son enfant qui engendre inquiétude face à cette permissivité sans limites .Très mauvais service à rendre à l'enfant que de l'installer sur un piédestal d'enfant  roi ..en général c'est le comportement de parents jadis brimés ...Faire la différence entre liberté d'expression et permissivité .


    • « encore une bouchée» : couper la poire en 2 ,la recette éternelle du Dr Salomon .Recherche d'un compromis, d'un marchandage entre les 2 protagonistes ...qui ne satisfait aucun ! c'est une méthode basée sur une fausse hypothèse selon laquelle il faudrait demander plus pour avoir moins .Souvent quand on cède , on ne s'aide pas .

    • « si tu fais ça , je le dis à papa » :ou  l'art de se faire haïr en une leçon ! Chantage qui sera utilisé aussi par l'enfant ! ( chantage affectif ) . Genre de communication destiné à forcer l'adhésion de l'enfant  qui engendre :
          • de mettre à exécution la menace proférée
          • si effet escompté obtenu , l'enfant va conclure que c'est un bon processus et l'utilisera à son profit contre vous .
    la victime de la menace est  rarement satisfaite d'avoir été forcée : la relation est soumise à rude épreuve avec des suites pour l'avenir. Les bons négociateurs ne recourent jamais ni à la menace , ni à l'ultimatum , même voilés.

    . « c'est pour ton bien » : pour lui apprendre à prendre des vessies pour des lanternes .Genre de duperie qui trompe rarement les enfants et explique certaines de leurs réactions de révolte ! Nombreuses sont les fois où vous les obligez à être disciplinés , propres ...soi-disant pour eux , alors qu'en réalité vous redoutez des retombées négatives de leurs comportements qui pourraient nuire à votre image sociale ! Évitez donc de leur donner ce sentiment : parlez de vos intérêts propres .« Qui aime véritablement reconnaît et respecte l'individualité et l'identité de l'autre et hésitera à dire : j'ai raison , tu as tort , je sais mieux ce qui est bon pour toi »

    .« pile je gagne , face tu perds » : lui donner le choix entre les pommes de terre et les patates .ce pseudo choix est une  alternative illusoire puisque chacun des termes vous est favorable , alors qu'en apparence, vous donnez le choix à l'autre ! Si l'enfant s'en rend compte , il se méfiera à l'avenir de toutes vos propositions !

    . le faire à l'arnaque : pour réussir à rendre votre enfant  méfiant à tout jamais ...et qui détruit à jamais le climat de confiance. Les parents promettent pour obtenir de l'enfant ce qu'ils veulent et ne s'exécutent pas !

    . « tu ne veux pas me faire de la peine » : pour culpabiliser grâce au chantage affectif : culpabiliser l'enfant pour mieux contrôler son comportement est une de stratégies les plus néfastes : pour ne pas vous faire de la peine , l'enfant  est forcé d'agir d'une manière contraire à ses sentiments : il agit selon votre désir et non en fonction de ce qu'il ressent : ce qui engendre conséquences négatives à long terme innombrables ! Le sentiment de culpabilité est une source permanente et indicible d'angoisse chez l'enfant .En s'ignorant pour vous satisfaire , il perd sa liberté de choix et devient irresponsable de ses actes ...devenant manipulateur à son tour .Jouer avec la sensibilité des enfants pour obtenir ce que vous désirez est une piètre stratégie d'une nocivité incommensurable .
    . la violence physique : le martinet est encore là pour éviter que des claques se perdent .Les châtiments corporels violents et dispropotionnés ont des conséquences négatives innombrables. Si vous frappez , vous avouez votre incapacité à vous maitriser ...n'oubliez pas que vous êtes L'EXEMPLE , LE MODÈLE ! Attention de ne pas pratiquer le « fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais » ! Gardez à l'esprit que si la peur du châtiment peut empêcher de mal agir , elle incite rarement à bien se conduire : il existe d'autres solutions que la punition .!
    . « viens faire un bisou à maman » : pour bien le manipuler et l'empêcher de voir venir le coup . Pour obtenir des enfants ce qu'ils désirent , les parents ont parfois  recours à la manipulation , la ruse , le trucage , la dissimulation , le mensonge et la tromperie :« il suffit de le prendre par les sentiments » disent certains parents ,« viens faire un bisou , fais -moi plaisir ...» des méthodes inefficaces que les enfants vont reproduire aussi bien à votre égard qu'à celui de leurs propres enfants plus  tard , et aussi dans leur environnement professionnel et social.




    * Quelles sont les conséquences les plus marquantes de ces 10 approches :
    ° l' accumulation des ressentiments et des rancœurs :que les adolescents exprimeront à travers leurs comportements : fugues , échecs scolaires , look débraillé ou punk , comportements extrêmes ou ressentiment reporté sur frère ou sœur ou l'environnement .Les " oui maman " , " tout de suite maman " cachent soumission et ressentiment.

    ° la destruction de la relation à long terme: c'est l'effet le plus néfaste .Face à un pouvoir abusif , les enfants  vont se détourner de vous et vous contrer comme ils peuvent : rébellion ,défi , révolte ...Il est recommandé de toujours  garder présent à l'esprit que les actes d'aujourd'hui vont cimenter et enrichir votre relation avec vos enfants  ou la faire progressivement dépérir . Si votre enfant n'a pas confiance en vous , il ne vous fera pas partager ses préoccupations.

    ° l'application difficile des accords : l'adhésion véritable est réduite ou pratiquement inexistante .Votre enfant vous a donné l'impression de consentir mais c'était pour mettre fin à la discussion ...et le conflit va se représenter .Un résultat est bon si le problème  ne se présente plus ; la meilleure discipline est l'autodiscipline et non une discipline imposée par l'extérieur , nécessitant un rapport constant.


    ° l'affaiblissement de la communication enfants-parents : « je ne veux pas te le dire » :c'est la  1e manifestation de ce symptôme très tôt ( 4 ou 5 ans ) .Plus tard , l'appauvrissement de la relation se portera sur sa fréquence et son exactitude : l'enfant va faire l'apprentissage du mensonge et de la dissimulation.

    °l' insécurisation de l'enfant : si vous vous rendez compte que vous abusez de votre pouvoir sur votre enfant , vous serez tentés de lui offrir des compensations démesurées en le gâtant :cette attitude est néfaste au niveau relationnel ; votre enfant va se sentir insécurisé , il va perdre confiance en lui et l'estime de soi , ce qui est à l'encontre de ce que doit être votre but : donner à vos enfants la force intérieure nécessaire pour affronter les pbs éventuels de la vie

    ° la pauvreté des accords ; s'il y a accord , celui-ci est médiocre; quand l'enfant accepte de manger la moitié de ce qu'on lui sert , c'est certainement le meilleur accord possible obtenu par le marchandage ..quand il se résigne à ne pas voir son copain pour ne pas vous contrarier , il est mécontent et de mauvaise humeur …

    • le coût de toutes ces approches de règlement de conflits est ...exorbitant !et le  résultat inefficace !
    *Alors pourquoi y avons-nous

    recours ??
    ° ce sont des  comportements dictés par nos croyances , nos conceptions, nos convictions de ce qui est bon ou mauvais pour nos enfants.

     °  la  dimension émotionnelle et les enjeux personnels entrent aussi en ligne de compte : peur de l'échec , de son incompétence de parent. De la part de l'enfant , admettre le point de vue du parent est l' aveu d'une erreur,une  humiliation intolérable.

    °Ces réponses inappropriées sont fondées sur des idées reçues et diverses confusions concernant
    1.le conflit 
    2. la nature de la situation ,
    3. la relation ,
    4. le pouvoir et 
    5.la manière d'obtenir la coopération des enf.

    1.le conflit : peut être dû à la promiscuité dans l'espace de vie familial , à la différence de perceptions en cas de conflits de besoins ou d'intérêts ou à l' antagonisme de valeurs auxquels s'ajoutent des idées reçues relatives 
    au conflit !
    • le conflit serait négatif en soi : mot qui fait peur .Souvent associé à l'échec , chez le parent c'est l' angoisse d'être jugé incompétent .Le conflit détruit l'image de l'harmonie familiale ,c'est un  signe tangible d'un malaise dans la famille
    • il serait possible d'éviter conflits et tensions. Si on fait en sorte d'éviter tout sentiment de jalousie ou d'injustice , on prive les enfants  de la volonté de réconciliation et de la créativité qu'elle génère ,Impossible de faire totalement disparaître les conflits .
    • Tous les conflits devraient être réglés une fois pour toutes . 
       « On s'embrasse à tout prix avant d'aller dormir »: ce n'est qu'une illusion pour faire croire que le problème  est réglé ...et plutôt un diktat imposé par le parent omniprésent à l'enfant qui a capitulé et reculé sans adhésion véritable .
    Avec l'évolution de chacun selon l'âge et en fonction des circonstances , le même problème réapparaitra plus tard sous d'autres formes .
    • il est Impossible de supprimer problèmes  et conflits : les conflits n'ont rien de diabolique , ils sont inévitables , voire souhaitables .
    l'absence de conflit est le symptôme d'un immobilisme , d'un ennui ou d'un refus de les affronter .
    • Certes les conflits sont souvent désagréables , et peuvent engendrer malaise ou angoisse ce qui fait redouter d'aborder le problème  de front.
    • En effet ,ce  signe de santé montre que chacun existe et est capable de s'exprimer : reconnaissance du droit à la différence.
    • le conflit est  un moyen de progresser et le ressort du dynamisme; en effet , c'est de la tension que nait l'innovation :c'est l' aliment dont a besoin l'imagination pour travailler et créer encore ; le conflit est inéluctable quand les enjeux sont importants
    • le conflit eest une condition pour mieux affronter la vie : l'enfant qui a appris à vivre dans une ambiance familiale tolérant les différences tout en préservant la relation et le plaisir d'être ensemble , est davantage préparé à affronter le réel .
    • Alors puisque les conflits sont inévitables , comment éviter qu'ils ne dégénèrent , s'amplifient ou conduisent tout droit à l'impasse ?


    2. la nature de la situation :
    dans son activité quotidienne ( vendeur , acheteur, collaborateur , directeur …) le parent , face à un problème  , réalise qu'il est en situation de négociation commerciale , sociale ou hiérarchique ; par contre, lorsqu'il affronte une difficulté avec son enfant  , l'idée de négociation ne lui vient pas à l'esprit !
    ° il a l'impression qu'il n'y a rien à négocier , que le parent sait par avance ce qui est bon ou mauvais pour son enfant  , que l'enfant doit par principe obéissance et respect à ses parents …
    ° or l'enfant agit rarement dans le but de nuire quand il rentre tard , passe des heures au téléphone , aspire à avoir un chien dans un appartement …, il ne pense pas mal faire ni heurter un quelconque intérêt chez un autre membre de la famille...
    ° en fait , ces conflits d'objectifs , d'intérêts , de valeurs et de perceptionsdoivent être gérés de manière constructive si on veut préserver la bonne entente et l'harmonie familiales .
    ° ce sont de véritables négociations qu'il faut traiter comme telles.

    3. la relation :
    attention ! pas de négociation à tout va : certaines situations ne sont pas négociables .Le besoin de limites n'est plus à démontrer , on sait l'angoisse générée par leur absence ! Donc l'autorité doit s'exprimer avec fermeté quand il s'agit
    d 'énoncer la loi : néanmoins il y a possibilité de régler une multitude de désaccords par le dialogue et l'échange ,possibilité de trouver une solution négociée mutuellement acceptable.

    4. le pouvoir :
    le parent a souvent une conception erronée du pouvoir ; en général, le pouvoir du parent  se résume à la  capacité de faire effectuer par son enfant  quelque chose que ce dernier n'aurait pas fait spontanément : le parent aurait donc plus de pouvoir que ses enf...???
    ° pouvoir de récompenser : pour obtenir que son enfant  agisse dans le sens souhaité...une forme de dépendance de l'enfant  à l'égard du parent ; l'enfant imagine ou sait que le parent contrôle les ressources qu'il convoite pour satisfaire ses besoins.
    ° pouvoir de punir: c'est la capacité du parent de priver l'enfant  de quelque chose qu'il désire ou de lui administrer une punition à la suite d'un refus d'obéissance .Qu'il récompense ou punisse , le parent cherche à obtenir un changement de comportement chez l'enfant  ;ainsi il arrive à le contrôler en le dressant.
    ° pouvoir de la connaissance et de la compétence : l'enfant est  émerveillé par l'ampleur du pouvoir de ses parents et leur capacité à comprendre ce qu'il ne fait que découvrir ....en attente de réponses aux multiples questions qu'il se pose et souvent les parents sont en mesure de répondre ou savent cacher habilement leur ignorance ; alors les enfants les considérent  comme de véritables experts de ce monde si complexe...
    ° pouvoir de la légitimité : aux yeux de l'enfant , le statut de parent constitue en lui-même un élément suffisant pour agir de telle ou telle manière .Même s'il n'aime pas les directives qu'il reçoit , il se sent dans l'obligation de s'exécuter , par principe il doit le respect au parent.
    ° pouvoir de référence : le parent exerce une attraction énorme sur ses enfants. Le garçon s'identifie à son père et la fille à sa mère : pouvoir qui provient des qualités que l'enfant  perçoit chez son parent et qu'il cherche à s'accaparer .Père et Mère ne sont pas toujours conscients de ce pouvoir dont l'ampleur va s'exprimer par son impact dans les situations de désaccord.

    ° Mais l'enfant a également du pouvoir sur ses parents..qui ont besoin de se sentir aimés et compétents dans leur métier de parents .De même en grandissant , l'enfant acquiert une indépendance à l'égard de ses parents dans la satisfaction de ses besoins.
    ° donc il existe une situation d'interdépendance , même si l'équilibre des pouvoirs peut à certains moments pencher en faveur du parent.
    ° donc important de manier ce pouvoir avec bcp de précautions !

    ° utiliser son pouvoir le diminue .Si l'enf ant ressent une coercition permanente , il sera impatient de voir le moment où il pourra se libérer du joug parental .Dès qu'il sera moins démuni , il se détournera de ses parents : il va contester , rejeter toute forme d'oppression , se révolter , fuguer, échouer à l'école , se tourner vers d'autres sources de communication.Le  fossé entre enf ants et parents se creusera et les parents auront de moins en moins d'influence sur sa conduite.

    ° avoir moins de pouvoir peut conférer un avantage tactique .Le parent peut-il jeter son enfant  par la fenêtre ? La faiblesse de votre enfant vous oblige à modifier votre manière d'agir .!!!!

    ° pour avoir du pouvoir , il faut commencer par donner .Quand les parents prodiguent des faveurs ou créent des besoins , l'enfant  devient dépendant d'eux et tant qu'il sera dépendant , le parent conservera son impact sur lui .IL est donc nécessaire donc d'avoir une vision dynamique de la relation parent-enfants , c'est-à -dire la projeter dans le temps : priorité au long terme!

    °l'usage abusif du pouvoir ou de l'autorité va à l'encontre de votre but : vous voulez aider vos enfants  à devenir autonomes , capables de s'affirmer , de s'assumer , d'être confiants en leurs possibilités et vous vous retrouvez avec des enfants  soumis, dépendants , craintifs et anxieux ;il y a  confusion entre la nécessité de fixer des limites et autoritarisme : abus de votre pouvoir .
    En fait la vraie question que nous devons nous poser : 
     « comment obtenir de l'enf ant ce que je désire sans user de mon pouvoir , 
    alors que j'en ai plus que lui ?»
    Négocier plutôt que d'imposer est la  garantie d'une meilleure stabilité des accords .


    5. les moyens favorisant la coopération.

    La négociation est destinée à favoriser la collaboration et la coopération chez l'autre .
    Souvent les échecs sont dus aux idées reçues sur la manière d'y parvenir et des confusions à propos de la négociation ;

    ° 6 idées reçues les plus  répandues :

    1.le gâteau serait limité une fois pour toutes :ce que l'un gagne , l'autre le perd forcément ...un conflit doit donc se solder par un gagnant et un perdant .Si je suis guidé par cette hypothèse , je cherche donc à être moi-même le gagnant et l'autre le perdant .Ce qui m'amène à vouloir me protéger en permanence.

    2.Une solution gagnant-gagnant serait toujours possible : les idéalistes pensent qu'il y a une solution où tout le monde gagne . Malheureusement les intérêts sont parfois contradictoires ; la réalité est faite de compétition et de coopération , impossible de supprimer l'une des 2 composantes , il s'agit simplement d'apprendre à mieux gérer le tension qu'elles suscitent .
    3.Il serait nécessaire d'adopter des position extrêmes : « si tu leur donnes un doigt , ils te réclament tout le bras » le parent va exiger beaucoup et proposer peu ..l'enfant  habitué à ce genre de traitement va systématiquement prendre le contrepied : s'il veut bien rentrer à minuit , il demandera une permission jusqu'à 2 h du matin ; s'il a besoin de 50€ , il va commencer par réclamer 100 ; s'il veut passer l'après-midi à jouer avec un copain , il exprimera le souhait de vouloir dormir aussi chez lui …

    4.il faudrait procéder par échange de concessions .C'est une des erreurs les plus répandues . Puisque le gâteau est limité , puisqu'il faut partir de positions extrêmes , la seule manière de progresser vers une éventuelle solution est d'exiger des concessions en se montrant soi-même disposé à en faire
    .Or le fondement de cette approche c'est de tromper l'autre sur ses besoins et ses exigences .
    A ce jeu on finit par attendre longtemps car personne n'aime faire des concessions uniquement pour satisfaire la volonté de quelqu'un d'autre .Et puis une concession en appelle une autre puis une fois parvenu à l'accord , comment être sûr que c'est le bon ? Sur quoi baser la justification de son bien-fondé ?comment être crédible la fois suivante ?

    5.Il faudrait porter un masque . Puisqu'il s'agit d'une parole de poker menteur , le gagnant est évidemment celui qui saura mieux cacher ses émotions et ses sentiments .
    Pour les adeptes de cette méthode , le bon négociateur se doit de rester serein et impassible ...mais à quel prix ? Vous parle t-on de son ulcère à l'estomac ?

    6. Il faudrait utiliser des processus manipulatoires : être plus rusé que son interlocuteur , exercer des pressions pour le faire plier , distiller de mauvaises informations , user d'attaques personnelles pour le déstabiliser , recourir à la provocation pour lui faire perdre ses moyens , truquer et dissimuler pour l'empêcher d'y voir clair. Ce sont des manœuvres qui à terme et dès qu'elles sont démasquées engendrent l'effet contraire .

    • Ces Idées reçues sont amplifiées par plusieurs confusions quant à la nature de la négociation :
    • voici les 8 confusions les plus courantes:
    1. une table de négociation serait un champ de bataille. Négocier fait penser à un duel, un combat,...pourtant la négociation n'est pas un moyen destiné à punir l'autre , ni une manière de lui faire supporter le plus de dégâts possible .Votre enfant  n'est pas l'ennemi et vous ne portez pas les armes .

    2. être en désaccord impliquerait d'être désagréable. le désaccord engendre  tension , émotion . La communication est alors chargée de reproches , de procès d'intention et d'attaques personnelles. Pour s'assurer la victoire sur l'autre , on dit des paroles blessantes pour le diminuer. L'autre va se défendre , riposter et s'ensuit une spirale infernale : attaque / défense / attaque . Il vaut mieux dire : «je suis déçu que tu aies ramené la voiture avec 2 heures de retard » plutôt que « tu es un irresponsable » ou « le bruit me gêne et j'aimerais être tranquille » plutôt que « tu es infernal , tu ne sais pas te tenir » .Les désaccords sont déjà difficiles , inutile de rajouter des mots désagréables.

    3. comprendre le point de vue de l'autre équivaudrait à y adhérer. On a peur de se laisser influencer . Ecouter et comprendre la vision de l 'autre n'est pas forcément synonyme d'adhésion . Par contre , l'ignorer c'est  naviguer dans un brouillard épais et obscur , la certitude d'engager des actions sans effets , c'est s'entêter à vouloir rechercher ses clés sous un réverbère sous prétexte qu'à cet endroit il y a de la lumière .Quelle chance j'ai de modifier le choix de quelqu'un si j'ignore les motivations qui le déterminent ? Soyez perméable sans vous laisser noyer !

    4. faire confiance nécessiterait d'être crédule .Instaurer un climat de confiance est  favorable à la résolution des différends mais accorder aveuglément sa confiance conduit à la désillusion et au conflit.
    LES ENFANTS  ONT BESOIN DE RÈGLES ET DE SURVEILLANCE .ex: vous ne laissez pas votre fils de 6 ans seul au volant avec le moteur qui tourne ...vos réactions seront différentes selon l'âge de vos enf .
    Pour autant faut-il sombrer dans une méfiance excessive ?si pour les préserver de tout danger , vous faites tout à leur place , vous les privez de l'apprentissage de l'autonomie et du sens des responsabilités .
    Refuser la confiance de l'enfant  le rend moins fiable , le blesse dans sa propre estime , le décourage et l'empêche d'entreprendre et de prendre des risques .
    Même si les enfants  inventent des histoires , le parent doit
    s'interdire d'en faire autant pour préserver son autorité et continuer à apparaître comme une personne sûre .
    Ne soyez ni soupçonneux , ni crédule ; être sur vos gardes ne veut pas dire vous barricader.

    5. maintenir le dialogue serait approuver la conduite .C'est une approche courante pour montrer sa désapprobation face à un comportement : rompre la communication avec l'autre .
    Le parent craint que son enfant n'interprète le maintien des échanges comme une approbation .La rupture peut aller de la consignation de l'enfant dans sa chambre à «je ne te parlerai plus tant que tu n'auras pas fait ce que je te demande ...»...ou l'enfant  peut lui aussi choisir de s'enfermer dans sa chambre .Chacun cherche à punir l'autre dans l'espoir que ce dernier fera un geste
    Si ce modèle familial appris dans la plus  tendre enfance se répète souvent et réussit , le futur adulte est promis à de sérieuses difficultés.
    Or , pour obtenir satisfaction d'une partie de vos préoccupations , vous avez besoin de la collaboration de votre enfant . Comment faire passer le message si votre relation est rompue ? Maintenir le contact est le plus sûr moyen de faire valoir vos arguments .Regardez votre enfant  droit dans les yeux et dites-lui sur un ton très ferme: « je suis très mécontent de te voir agir de la sorte car ta maman et moi nous sommes chaque fois angoissés » .
    Iln'est pas nécessaire de se fâcher avec quelqu'un pour bien marquer son désaccord avec son comportement .
    Continuez à dialoguer même si vous désapprouvez.

    6.être honnête serait être naïf ..Utiliser la rétention d'informations , la désinformation ou la mauvaise information, ce sont des tactiques qui empêchent l'autre de saisir vos besoins .Ce faisant , vous vous privez en retour , des idées de solutions qu'il peut avoir quant au différend qui vous oppose : il est donc bon , pour sa propre cause de donner des informations sur soi, sur ses véritables besoins et sur ses préoccupations.
    Mais attention : dévoiler ses intérêts ne signifie pas qu'il convient de tout divulguer .Certaines infos peuvent se retourner contre vous et vous nuire même face à un négociateur constructif : dire que vous avez le couteau sous la gorge est à déconseiller...entre tout dévoiler ou ne rien dire , vous avez de la marge !
    Alors soyez honnête sans pour autant être naïf !

    7.changer de position serait faire machine arrière .Quand l'enfant  campe sur une position , il cherche ainsi à satisfaire un intérêt. .Tout l'art du parent va consister , si cette position ne lui convient pas , à montrer à son enfant qu'il existe d'autres moyens de parvenir à ses fins : l'enfant  n'aura pas capitulé pour autant .
    Ex : votre fils ne veut pas déjeuner à la maison mais au Mac Do et vous n'avez pas le temps de l'y emmener .Essayer de comprendre la raison de son insistance vous permettra de découvrir qu'il y tient surtout pour le cadeau offert ; dès lors une autre solution pourrait faire l'affaire .Aidez le à vivre l'abandon de sa position non comme un camouflet ou une reculade , mais comme un moyen sûr de mieux faire avancer ses intérêts .
    Changez de perspective pour changer de position .

    8.ramener l'autre à la raison nécessiterait de le mettre à genoux .Si la négociation n'est pas un duel , si l'autre n'est pas l'ennemi , si la partie qui se joue ne se confond pas avec un jeu d'échecs , le but poursuivi ne peut être alors de triompher au détriment de l'enfant . Si l'enfant perçoit derrière votre attitude la volonté de le vaincre , il opposera une résistance farouche à vos arguments pour éviter la défaite ,Car ce serait alors plier que d'admettre son erreur éventuelle :vous ne voulez pas lui montrer qu'il a tort et vous avez raison , votre but c'est de le ramener à la raison .Si vous lui tendez la main , c'est pour l'aider à traverser et non pour l'enfoncer. Négocier n'est pas synonyme de capituler.

    @ alors comment obtenir un changement de comportement dans des situations similaires sans passer ni par la soumission de l'enfant , ni par la démission des parents-? Les problèmes  soulevés sont nombreux !
    ° si les conflits sont inévitables, comment éviter que les désaccords et la manière de les résoudre ne creusent un fossé entre vous et l'enfant ?
    ° comment ne pas vous aliéner plus tard 
    votre enfant ?
    ° comment l'amener à changer de point de vue tout en sauvegardant son amour-propre ( sans lui faire perdre la face)?
    ° comment sortir de l'impasse sans vous imposer par la force quand l'enfant reste figé sur ses positions ?
    ° comment concilier ce qui paraît être des intérêts divergents ? 
     
    • *** OUI! Il existe d'autres types de solutions auxquels vous avez recours , parfois sans vous en rendre compte, qui apportent pleinement satisfaction aux 2 parties .

    *** OUI! Il y a un moyen d'amener l'enfant  à partager votre point de vue autrement que par la force , en prenant le sien en compte et être satisfaits tous les 2 .


    - 2ème partie le mois prochain ( avril)-