LE NOUVEAU PETIT LIVRE DE FRAMBOISE A FAIT LE BUZZ SUR FRÉQUENCE PLUS ! !

Le témoignage de Karine DE LUCA / AVOCAT






Ce 8e petit livre rouge ...

Ce 8e petit livre rouge ...parle d'un évènement douloureux: les violences sexuelles faites aux enfants. Près d'un enfant sur cinq est victime de violence ou d'abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant : la clé est de bien communiquer avec lui, de PARLER VRAI dans un climat de confiance. La sexualité est encore un sujet tabou. Si aborder ce sujet avec votre enfant vous embarrasse, ce petit livre vous sera utile ...car il vous offre des clés pour apprendre à l'enfant à se protéger et à oser dire « NON ! ». Il s'adresse à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.Il parle à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus « notre enfant intérieur ». Les mots, plutôt que les maux !

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8. JE NE VEUX PLUS ALLER A L'ÉCOLE - THÈME : Les violences sexuelles faites aux enfants -

12 € + 1 € expédition -livraison
Si vous souhaitez une dédicace, écrivez le prénom ICI !

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Vous pouvez aussi utiliser ce bulletin de commande à imprimer :

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Post du mois à lire , après la présentation des petits livres rouges !


Les mots, plutôt que les maux !

Bienvenue dans l'univers des petits livres rouges de FRAMBOISE !

Des petits livres rouges pour « parler vrai »...
Ils racontent l'histoire vécue par un enfant
Ils parlent de la vie - naissance, secrets de famille, séparation , divorce, maladie, mort, identité, déménagement, jalousie...
Ils sont des outils de communication
Ils offrent des pistes de réflexion
Ils interpellent nos émotions.

Ils s'adressent à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.
Ils parlent à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus
« notre enfant intérieur ».

Je vous invite à découvrir la collection ci- après

FRANÇOISE POULET alias FRAMBOISE


pour tout renseignement ( PAR EX.envoi en nombre ,édition de facture ou autre ), me contacter par tel . +33 684868770 ou par mail : framboise.editions@orange.fr
Merci !





2 .le rhume de hanche; thème : le divorce* 12€+ 1€ expédition -livraison

LE RHUME DE HANCHE - livre n°2 - THÈME : le divorce- 12€ + 1€ expédition -livraison

3. Il est perdu mon papa ; thème : la mort d'un proche * 12€ + 1€ expédition -livraison

IL EST PERDU MON PAPA - livre n°3- THÈME : la mort d'un parent -la maladie grave - 12 € + 1 € expédition -livraison

4 . MON NOM DE FAMILLE : connaître ses origines, son identité * 12€ + 1€ expédition -livraison

MON NOM DE FAMILLE - livre n°4- THÈME : l'identité, connaître ses origines - 12 € + 1 € expédition -livraison

5. La maison de papa ; thème : le déménagement * 12€ + 1€ expédition -livraison

LA MAISON DE PAPA - livre n°5- THÈME : le déménagement - 12 € + 1 € expédition-livraison

6. MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - Thème :le cancer de l'enfant -

MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - livre n°6 - THÈME : le cancer de l'enfant - leçon de vie face à la maladie - 12€ + 1 € expédition -livraison

7. LA PETITE SœUR ; THÈME : LA JALOUSIE DANS LA FRATRIE * 12 € +1 € EXPÉDITION -LIVRAISON

LA PETITE SœUR - livre n° 7 - THÈME : la naissance d'un enfant est une épreuve pour chacun au sein de la famille ; c'est un chamboulement pour l'aîné -assailli d'émotions diverses - relégué au second plan par le nouvel arrivant . Un nouveau regard sur la jalousie pour mieux comprendre ce qu'un enfant peut traverser.- 12 € + 1 € expédition- livraison .

1. LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL ; Thème : la naissance, un secret de famille...

le premier petit livre rouge
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LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL

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Après la présentation des petits livres rouges, voici le blog !



LE POST DU MOIS.

Etes-vous un parent "hélicoptère " ??

  Être un « parent hélicoptère », c’est une image pour décrire le parent qui semble toujours « voler » au-dessus de son enfant pour préve...

mercredi 4 novembre 2020

SUR MON BLOG, CE MOIS-CI , JE PARTAGE AVEC VOUS CETTE RÉFLEXION D'ACTUALITÉ POUR LE BIEN -ÊTRE DE TOUS, PARENTS ET ENFANTS ...

 


Blues d’automne, confinement… 5 conseils pour garder le moral

Santé mentale - RECONFINEMENT 

 

Par Claire Sejournet - https://psychologies.com



Chaque année, c’est la même histoire : l’automne s’installe et notre moral chute. On a beau savoir que c’est normal, on se fait toujours avoir. Mais cette année, il faut composer en plus avec un nouveau confinement. Voici cinq pistes pour ne pas se laisser abattre.

Sommaire
  1. On lâche prise
  2. On soigne son sommeil
  3. On sort autant que possible
  4. On fait attention à son alimentation
  5. On se tourne vers des solutions naturelles

« Plus que jamais, nous sommes dans une situation où l’on est obligé de faire appel à nos ressources intérieures pour s’en sortir, encourage Esther Schmitt, naturopathe à Strasbourg. Donc, malgré les contrariétés, les angoisses, l’inconnu, on ne baisse pas les bras ! ». Bonne nouvelle, il y a plein de choses à faire pour chasser le coup de blues de l’automne 2020, qui combine les habituels désagréments de l’arrivée de la saison froide et un confinement que l’on avait vraiment pas envie de revoir…

On lâche prise

Il y a les choses sur lesquelles on peut agir et celles sur lesquelles on ne peut rien faire. Mieux vaut concentrer ses forces sur les premières, assure Esther Schmitt : « c’est vrai que l’époque est anxiogène, qu’on ne sait pas où on va. On n’a pas la main sur l’évolution du virus, sur le nombre de morts quotidien, sur les décisions du gouvernement... Mais je peux choisir de mieux cuisiner, de me coucher plus tôt, de sortir une heure chaque jour, de faire des câlins à mes enfants… ».

Les émotions négatives ne sont pas bonnes pour le moral et la santé physique : « pensez à toutes les fois où vous êtes stressé et avez mal au ventre. Nos émotions ont un impact direct sur notre bien-être ! C’est de notre responsabilité de cultiver des émotions positives en nous pour traverser la période au mieux ».  

Attention, rappelle Esther Schmitt : il ne s’agit pas de se voiler la face. « L’excès n’est jamais bon, souligne-t-elle. Passer son temps à ruminer des idées négatives ne fait pas du bien, tout comme il n’est pas constructif de se lever tous les matins en disant ‘waouh, tout va bien’ si au fond de vous une petite voix vous dit le contraire ». Il est temps d’être doux avec soi-même : « si vous avez envie de pleurer, pleurez. Accueillez vos émotions négatives sans vous juger ».

Pour aller plus loin

Une impression de déjà vu…
Contrairement au printemps dernier, il n’y a plus l’effet nouveauté dans ce confinement automnal. « Dans un sens, on gagne du temps, remarque Esther Schmitt. Si vous aviez trouvé des solutions qui vous faisaient du bien, reprenez-les. Si vous avez mal vécu votre premier confinement, demandez-vous pourquoi et ce que vous pourriez faire pour ne pas revivre la même expérience : sortir davantage, en profitant de l’heure de sortie quotidienne à laquelle nous avons droit ? passer moins de temps devant les écrans ? faire plus d’activité physique ? manger plus de fruits et légumes ? Essayez, testez, en étant indulgent avec vous-même. »

On soigne son sommeil

Beaucoup l’ont expérimenté au printemps dernier : le confinement perturbe le sommeil. Pourtant, bien dormir est un atout pour se préserver du blues automnal. « Le corps travaille activement pendant la nuit, explique Esther Schmitt. Plus on se couche tôt, plus on laisse de temps à notre organisme pour mener les opérations de nettoyage, de réparation et de renforcement dont il a besoin. S’endormir tôt aide à se sentir bien. »

Bien dormir aide le cerveau à faire le tri dans les informations. De plus, plus on est fatigués, plus on est anxieux et moins on est capable de discernement. « Or nous en avons vraiment besoin en ce moment pour éviter de nous laisser happer par le climat anxiogène environnant », insiste la naturopathe.

Pour aller plus loin

De l’info, mais pas trop
Regarder les informations peut se révéler extrêmement anxiogène. Rien ne sert d’être en boucle sur les chaînes d’info ou de scroller sans fin ses murs sur les réseaux sociaux. Se tenir informer, c’est choisir quoi lire, voir ou écouter et quand. Un journal radio le matin et un le soir suffisent pour avoir les principales informations d’actualité. A côté, il est possible de se référer par exemple à des sites d’information magazine, qui offrent du recul, tant du côté des journalistes qui ont écrit l’article que du côté de celui qui le lit, et de s’informer des autres grands dossiers du monde, pas uniquement de la pandémie et des actualités immédiates. Choisir avec soin ses sources d’information et limiter son usage des réseaux sociaux participe ainsi à l’équilibre psychologique.

On sort autant que possible

La sagesse populaire le sait bien, c’est quand on nous prive de quelque chose que l’on réalise à quel point c’était important. « Aujourd’hui, nous regrettons de n’avoir le droit de sortir qu’une heure par jour, pointe Esther Schmitt. Pourtant, en temps normal, ce droit paraît tellement évident et naturel que beaucoup de monde n’en profite pas ! Prendre le métro pour aller au travail puis à la salle de sport avant de rentrer chez soi, ce n’est pas une sortie ». Maintenant que nous savons combien sortir est précieux, profitons chaque jour de l’heure de sortie qui nous est accordée : sortons masqué pour de vraies marches dans la rue, dans notre quartier, sur les chemins environnants, surtout s’il y a du soleil. Et s’il pleut un peu, on chausse des bottes, on enfile un ciré, et on sort quand même. Il sera toujours temps de se faire un bon thé en rentrant.

Contrairement au printemps où l’on conseillait souvent de sortir le soir, après la journée de travail pour profiter d’une vraie coupure entre le travail et la vie de famille, mieux vaut, alors que les jours raccourcissent, sortir à l’heure du déjeuner, entre midi et 15h selon l’organisation personnelle et en fonction de la météo. Il s’agit de profiter au maximum des rayons du soleil. Pour couper à la fin de la journée, il est toujours possible de faire une petite séance de sport ou d’étirements par exemple.

Pour aller plus loin

Va-t-on manquer de vitamine D ?
« Pas forcément plus que d’habitude, tempère Esther Schmitt. De nombreuses personnes ne sortent pas vraiment en temps normal et ne profitent donc pas de la lumière du soleil. Car il faut rappeler que même si nous sommes en automne, il peut faire beau ! Le fait que l’on soit confiné ne change pas cette tendance de fond à la carence en vitamine D. A cette époque-ci de l’année, il peut donc être utile de faire une cure spécifique ».

On fait attention à son alimentation

Lorsque l’automne s’installe, on a parfois envie de se blottir dans une couverture, un thé fumant à la main, devant une bonne série ou avec un roman captivant. Excellente idée, sauf si on embarque le paquet de biscuits ou celui de bonbons !

Il ne s’agit pas de s’interdire ce genre de petits plaisirs, mais de les limiter : « s’offrir une pâtisserie une ou deux fois par semaine, c’est raisonnable. Manger tout un paquet de biscuits parce que l’on est stressé, non ». Les sucres rapides ne font pas bon ménage avec notre santé physique et mentale. Ces dernières années, plusieurs études se sont intéressées au lien entre consommation de sucre et santé du cerveau. Par exemple, il altère nos capacités de mémorisation. Pour remplacer le sucre raffiné, « optez pour des bons sucres, comme le miel, le sirop d’agave ou le sucre de coco. On trouve aussi bien sûr du sucre dans les fruits ».

Cet automne, faites-vous du bien : limitez les aliments gras et sucrés. Le slogan est connu, mais il ne se limite pas à un message de prévention des risques de diabète, d’obésité et de maladie cardio-vasculaire. « De manière générale, l’organisme va d’abord utiliser l’énergie pour assurer les fonctions digestives, expose Esther Schmitt. Donc plus on mange gras et sucré, moins on a d’énergie à disposition pour le reste, et notamment pour protéger notre système nerveux des risques de surchauffe mentale. »

Notre organisme ayant besoin de bons acides gras, la naturopathe conseille par exemple de mélanger de l’huile de chanvre, de colza ou de lin à l’huile d’olive dans les assaisonnements, de croquer des noix ou encore de manger des avocats. Il est aussi possible d’augmenter « la consommation de petits poissons gras des mers froides, comme les sardines, les harengs ou les maquereaux ». Si on préfère les gros poissons, on peut se tourner vers le thon et le saumon.

Une alimentation équilibrée permet aussi de faire le plein de tryptophane, un acide aminé essentiel qui favorise le sommeil et aide à lutter contre les troubles dépressifs. « On le trouve dans la banane, le riz complet, les produits laitiers, les noix de cajou, les légumineuses, le chocolat noir et les viandes », précise Esther Schmitt.

Enfin, il est important de faire le plein de magnésium. Cet oligo-élément est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme et du système nerveux, et participe à calmer notre stress. « Et là, bonne nouvelle, c’est l’occasion de manger du chocolat noir ! », s’exclame la naturopathe. Qui a dit qu’on ne pouvait pas mêler bien-être et gourmandise ?

On se tourne vers des solutions naturelles

En complément d’une alimentation saine et équilibrée et d’une activité physique régulière, quelques solutions naturelles pour aider à booster le moral en ce mois de novembre. « C’est le bon moment pour une cure de vitamine D pour renforcer notre système immunitaire. Et on sort aux heures les plus lumineuses pour se faire du bien », résume Esther Schmitt.

L’aromathérapie est une autre source de bien-être. Certaines huiles essentielles peuvent apporter un bienfait en étant ingérées, d’autres en étant utilisées en massage, d’autres encore en étant diffusées. Orange douce, mandarine, citron, lavande sont ainsi des références en matière de relaxation. Avant de vous lancer, informez-vous bien des indications d’utilisation et contre-indications.

« Je conseille également de s’intéresser aux élixirs floraux si on cherche des solutions naturelles pour gérer ses émotions en cette période de confinement et d’entrée dans l’automne, ajoute Esther Schmitt. Parmi les fleurs de Bach, je pense à l’étoile de Bethléem (Star of Bethlehem) qui est réconfortante, à la fleur de noyer (Walnut) qui accompagne la transition entre l’automne et l’hiver, à l’impatience (Impatiens) qui peut aider les personnes irritables, surmenées ou impatientes et au complexe ‘Assistance’ qui peut soulager en cas de coup de panique ».

ATTENTION
Ces conseils de naturopathie ne préviennent pas la dépression saisonnière. Cette maladie psychique nécessite un accompagnement médical spécialisé. Si vous ne vous sentez pas bien, souffrez d’une fatigue intense et de troubles de sommeil, êtes traversé de pensées sombres et manquez d’entrain en tout, n’attendez pas pour consulter votre médecin traitant et demander de l’aide.

L'experte
Esther Schmitt est naturopathe, spécialisée en nutrition. En janvier 2021, elle publie son premier livre, J'arrête de me sentir fatigué(e), aux éditions Eyrolles. Son site internet : www.estherschmitt.com

" En ce moment, l'art de vivre consiste en un mélange subtil entre lâcher prise et tenir bon "