LE NOUVEAU PETIT LIVRE DE FRAMBOISE A FAIT LE BUZZ SUR FRÉQUENCE PLUS ! !

Le témoignage de Karine DE LUCA / AVOCAT






Ce 8e petit livre rouge ...

Ce 8e petit livre rouge ...parle d'un évènement douloureux: les violences sexuelles faites aux enfants. Près d'un enfant sur cinq est victime de violence ou d'abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant : la clé est de bien communiquer avec lui, de PARLER VRAI dans un climat de confiance. La sexualité est encore un sujet tabou. Si aborder ce sujet avec votre enfant vous embarrasse, ce petit livre vous sera utile ...car il vous offre des clés pour apprendre à l'enfant à se protéger et à oser dire « NON ! ». Il s'adresse à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.Il parle à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus « notre enfant intérieur ». Les mots, plutôt que les maux !

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8. JE NE VEUX PLUS ALLER A L'ÉCOLE - THÈME : Les violences sexuelles faites aux enfants -

12 € + 1 € expédition -livraison
Si vous souhaitez une dédicace, écrivez le prénom ICI !

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Vous pouvez aussi utiliser ce bulletin de commande à imprimer :

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Post du mois à lire , après la présentation des petits livres rouges !


Les mots, plutôt que les maux !

Bienvenue dans l'univers des petits livres rouges de FRAMBOISE !

Des petits livres rouges pour « parler vrai »...
Ils racontent l'histoire vécue par un enfant
Ils parlent de la vie - naissance, secrets de famille, séparation , divorce, maladie, mort, identité, déménagement, jalousie...
Ils sont des outils de communication
Ils offrent des pistes de réflexion
Ils interpellent nos émotions.

Ils s'adressent à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.
Ils parlent à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus
« notre enfant intérieur ».

Je vous invite à découvrir la collection ci- après

FRANÇOISE POULET alias FRAMBOISE


pour tout renseignement ( PAR EX.envoi en nombre ,édition de facture ou autre ), me contacter par tel . +33 684868770 ou par mail : framboise.editions@orange.fr
Merci !





2 .le rhume de hanche; thème : le divorce* 12€+ 1€ expédition -livraison

LE RHUME DE HANCHE - livre n°2 - THÈME : le divorce- 12€ + 1€ expédition -livraison

3. Il est perdu mon papa ; thème : la mort d'un proche * 12€ + 1€ expédition -livraison

IL EST PERDU MON PAPA - livre n°3- THÈME : la mort d'un parent -la maladie grave - 12 € + 1 € expédition -livraison

4 . MON NOM DE FAMILLE : connaître ses origines, son identité * 12€ + 1€ expédition -livraison

MON NOM DE FAMILLE - livre n°4- THÈME : l'identité, connaître ses origines - 12 € + 1 € expédition -livraison

5. La maison de papa ; thème : le déménagement * 12€ + 1€ expédition -livraison

LA MAISON DE PAPA - livre n°5- THÈME : le déménagement - 12 € + 1 € expédition-livraison

6. MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - Thème :le cancer de l'enfant -

MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - livre n°6 - THÈME : le cancer de l'enfant - leçon de vie face à la maladie - 12€ + 1 € expédition -livraison

7. LA PETITE SœUR ; THÈME : LA JALOUSIE DANS LA FRATRIE * 12 € +1 € EXPÉDITION -LIVRAISON

LA PETITE SœUR - livre n° 7 - THÈME : la naissance d'un enfant est une épreuve pour chacun au sein de la famille ; c'est un chamboulement pour l'aîné -assailli d'émotions diverses - relégué au second plan par le nouvel arrivant . Un nouveau regard sur la jalousie pour mieux comprendre ce qu'un enfant peut traverser.- 12 € + 1 € expédition- livraison .

1. LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL ; Thème : la naissance, un secret de famille...

le premier petit livre rouge
N'EST PLUS EN STOCK ! :
" LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL " THÈME : secret de famille, secret de naissance...
RÉÉDITÉ PLUSIEURS FOIS ...MAINTENANT ÉPUISÉ!

je vous l' offre en ALBUM PHOTO ou en DIAPORAMA en copiant ce lien :

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LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL

JE SUIS À VOTRE ÉCOUTE...

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Après la présentation des petits livres rouges, voici le blog !



LE POST DU MOIS.

Etes-vous un parent "hélicoptère " ??

  Être un « parent hélicoptère », c’est une image pour décrire le parent qui semble toujours « voler » au-dessus de son enfant pour préve...

samedi 29 septembre 2018

LES PEURS DE VOTRE ENFANT ...COMMENT LES ACCOMPAGNER, LES APPRIVOISER, LES SURMONTER...


Les peurs : à chaque âge sa peur ; comment les accompagner, les apprivoiser, les surmonter.
Astuces anti-peurs ; "ce que papa m'a dit :un livre pour dépasser ses peurs et grandir tout au long de sa vie .
.


😡 La peur , qu’est –ce que c’est ?

     
 ° la peur est une ÉMOTION innée qui fait partie de notre équipement émotionnel NATUREL ( COMME LES AUTRE ÉMOTIONS : JOIE, COLÈRE, TRISTESSE ) :        

 * C'est notre pédale de frein qui nous invite à conduire prudemment et à aborder les virages de notre vie avec circonspection :c'est la perception d'une situation à venir nécessitant de la prudence .

* c'est un "signal d’alarme " devant une chose nouvelle , que l’on ne connaît pas et qui nous semble dangereuse.

* la peur est une émotion essentielle puisque, sans elle nous ne serions plus ici. En effet, cette alarme interne sophistiquée s’active par anticipation ou en présence d’un danger, mobilisant des ressources (mentales et physiques) pour nous maintenir en un seul morceau. Evidemment, il s’agit d’une « interprétation » et d'une « évaluation » du danger qui nécessitent parfois d’être remises en question à la lumière de la « réalité ».
          
  😮 c'est une émotion "positive "
→ liée à la notion  de danger
           - nécessaire, utile , ( sans la peur , l’enfant ferait fi du danger ! )
            - aide l’enfant à se construire
                                   à se développer harmonieusement
- prévient l’enfant du danger → lui permet ainsi de se protéger et de veiller à l’intégrité de son corps. ( 1er interdit  énoncé à l’enfant : " tu n’as pas le droit de  faire mal à ton corps " )

           - de plus , la peur de la loi symbolique représentée par le père , aide l’enfant à se construire et à sortir de la relation fusionnelle avec la mère ( tiers séparateur )
  😠 c'est souvent une  émotion "négative " pour les parents...qui peuvent la considérer comme une entrave, un handicap dans la société actuelle , où l'on désire un enfant parfait, idéal, performant
(société de performances qui a tendance à nier le danger : ex: pratique de sport extrêmes  , défis en tous genres, déni du danger .           

       ✺ citons des expressions verbales de la peur :
            - " même pas peur  " → fanfaronnade pour " braver " la peur .
                                           → lien établi par l’enfant entre la peur et le courage
                                                
           -  " j’ai peur ! " → formidable moyen pour obtenir ce qu’il veut ou ce qu’il ne veut pas
                                       → simples mots qui ont le pouvoir d’ébranler les convictions des parents les plus déterminés à faire respecter leurs lois .
                                       → résonance forte  = écho aux peurs de notre enfance , bien tapies au fond de la mémoire , oubliées parfois mais qui ressurgissent face à l’enfant plaintif  ( mémoires de notre enf intérieur )→
                                                                                                              la peur de l’enfant nous dérange ...ET on ne sait pas toujours y répondre ...car elle réveille les peurs de notre enfant intérieur ..et bien sûr nos propres peurs toujours existantes !
                                  
           -  " il n’a peur de rien ! "
             → ce n’est pas une preuve de caractère , mais sûrement une lacune dans l’éducation  = les parents n’ont pas appris à l’enfant qu’il y avait des lois , des règles de vie sociale , des consignes à respecter ( ils ont " oublié " l’éducation à la sécurité ....et la loi symbolique du père ! )
             → ATTENTION : enfant au comportement suicidaire , à la recherche de cette émotion- peur , se fait mal pour provoquer la réaction de l’adulte
      « va-t’il enfin me mettre des limites?»

Toutes les émotions sont utiles, ELLES dénotent d’un besoin (satisfait ou pas) et elles sont surtout réelles pour les enfants. Une des manières de s’en libérer est par conséquent de les reconnaître, de les accepter, de les exprimer et de déterminer le besoin qui s’y cache.

La vraie stratégie constructive consiste donc à donner un « droit à l’émotion » à l’enfant, écouter avec empathie et l’aider à verbaliser ce qu’il ressent.( voir méthode TIPI expliquée plus loin )
Cette approche est corroborée par les neurosciences. Poser des mots sur des émotions permet d’en atténuer l’intensité et donne la possibilité au cortex préfrontal de calmer l’amygdale. Le cerveau rationnel régule ainsi le cerveau émotionnel.



 * OUBLIONS  LES  EXPRESSIONS « Quand on est grand ,on n'a pas peur» ...sous-entendu :  « tu es un poltron , une mauviette , une poule mouillée...»
 * OUBLIONS  AUSSI les moqueries, les railleries :
Comme toute émotion ,la peur doit être entendue,  reconnue , acceptée , accueillie…


Notez également que la peur est contagieuse
et se lit sur les traits d’un visage, une gestuelle, un langage, etc. Le non-verbal est primordial (et majoritairement inconscient).
Dans cette logique, le travail des adultes sur leurs propres peurs est décisif.


*un outil intéressant : la méthode TIPI
de Luc Nicon expert en pédagogie et en communication comportementale en France,( à utiliser par tous , pour vous, vos enfants, vos ados)
http://tipi.pro ( vidéos )
pour la gestion des émotions désagréables ...comme la peur et pour s'en libérer .


@ La question essentielle :« Qu’est-ce que cela fait dans mon corps ? » La consigne est la suivante : ne pas lutter contre les manifestations physiques que nous allons éprouver, nous contenter de les noter et d’observer leur évolution, jusqu’à complète disparition.
La phrase magique à dire à l'enfant :« Je vois que tu vis une émotion, nous allons nous occuper d’elle car elle a besoin d’être entendue ; elle a certainement un message à partager, et son travail c’est d’être sûre que tu le reçois bien ! Alors dis-moi ce que tu sens dans ton corps ? »
1. accueillir l 'émotion , la verbaliser
2. je ferme les yeux pour bien ressentir où j'ai mal dans mon corps ( cela débranche le mental et focalise uniquement sur les sensations physiques)
3. je laisse évoluer la douleur sans rien faire d'autre , sans contrôler jusqu'à ce qu'elle disparaisse
4. je trouve des solutions pour ne plus être soumis à cette sensation désagréable .

 La peur....... selon l’énergétique chinoise 
           - La peur  bloque l' énergie au niveau des REINS  c.à.d =  glandes surrénales  , ovaires, testicules , cheveux, oreilles, os , dents...et le corps va parler en présentant des pathologies.                                                                        
 * l' Organe  concerné  = les Reins...en rapport avec 

* le  Viscère ... Vessie  d'où     (lumbago , crise d’acétone , énurésie , cystites, infections urinaires...)                             
   * en rapport avec le Sens  ... Ouïe  ( mal audition , otites , )
   * en rapport avec le Tissu ... Os ( fragilité, ostéoporose ...) 

toutes ces pathologies montrent une énergie des reins perturbée .

             ° Un exercice de QI GONG : le singe dont la façon de se déplacer  stimule l’énergie des reins;  à pratiquer avec les enfants craintifs manquant de confiance en eux .

° la saison en relation avec les reins est l' HIVER ; les  Reins sont alors en plénitude d’énergie – et des pathologies à cette saison montrent un blocage d’énergie ! C'est pendant l'été que le corps se prépare à l'hiver : attention aux étés très chauds , caniculaires...si vous avez alors peu consommé d'eau, vous risquez d' avoir des problèmes  d'énergie des reins  en hiver , d'où les pathologies ci-dessus citées.

3.  A CHAQUE ÂGE SES PEURS :
 


* le coffret « J’aide mon enfant à dépasser ses peurs»  identifie  les peurs différentes selon l’âge des enfants .

* Les premières peurs De 0 à 6 mois :

Tomber – perte d'appui-bruits forts-objets brusquement dans le champ de vision- mouvement soudain – ce qui disparaît et ne réapparait pas -
* de 7 mois à 1 an :
Angoisse de séparation- abandon -bain- visages inconnus- bruits forts
* de 1 an à 4 ans :
Angoisse de séparation – bruits forts-obscurité – changements dans l'environnement – père Noël, masques, monstres ,clowns, déguisements – peurs passagères ( orages, gros chiens…)
 * de 4 à 8 ans :
L'imaginaire est souvent responsable des peurs de 4 à 6ans : confusion entre son monde imaginaire, le monde du jeu et la réalité .
Peurs spécifiques( insectes, voleurs, médecins …) - peurs générées par l'actualité ( guerres, attentats, catastrophes…) - blessures corporelles- séparation et abandon – monstres et créatures surnaturelles – être seul- peur de se perdre -
Périodes d'agitations nocturne :réaction normale car l'enfant apprend de nouvelles choses...difficultés à tout intégrer dans le rêve = cauchemars qui permettent d'évacuer stress et agressivité vécues dans la journée.
* Les 3-6 ans, une période difficile
les débuts de la vie scolaire, épreuve de la séparation et de l'autorité.
Peur du noir qui est réelle et peur des fantômes, monstres, Extra terrestres qui existent dans tous les temps et toutes les civilisations donc la TV n'est pas seule responsable ,voir les mythes.
Les peurs se développent avec l'apprentissage de la gestion de l’agressivité. Il faut donc être compréhensif et très présent avec les peurs des petits.
Période œdipienne : peur du père ou de la mère comme un rival à l'amour de la mère ou du père selon le sexe de l'enfant. La compréhension des rôles familiaux, de la division sexuelle (filles garçons) tout cela peut contribuer à créer des angoisses chez les enfants de ce âge.
Création des romans familiaux :l'enfant  s'imagine avoir été recueilli., adopté ...que ses parents ne sont pas ses "vrais "parents !
 * la période de calme : les 6-12 ans
Les peurs sont plus centrées sur le réel, le risque concret : devoirs, contrôles, résultats scolaires
Même pas mal même pas peur.....L'enfant n'a pas la maturité émotive et intellectuelle nécessaire pour bien mesurer le danger. S'ils entendent dire qu'un meurtrier s'est évadé, ils pensent tout de suite qu'il va traquer sa famille.
Peur de ce que les adultes disent : si vous dites cet animal est dangereux ,l'enfant en aura peur.
Blessures corporelles- peurs sociales- -apparence physique  -peur de l’école, des autres, de prendre la parole en public, peur de l’échec, peur des accidents, de la mort de ses parents et de sa propre mort, des voleurs, du médecin,…

Les réactions des parents sont impliquées dans les persistances de certaines peurs ou phobies.

* Et après ?? Les adolescents ?

Les adolescents ont les mêmes peurs que les adultes mûrs dans leur fonctionnement logique .
 ils adorent se faire peur…. Défis insensés jusqu'à se mettre en péril.
Ils savent faire des liens de cause à effet, des hypothèses et jouent avec les concepts de la peur mais niveau émotions ils ne maîtrisent pas tout et ils rejouent certains pans du développement œdipien ou infantile (peur de décevoir, peur de se faire attraper en train de faire une bêtise....)= d'où angoisse.
Angoisse identitaire : se démarquer et être assimilé aux autres passent  par des expériences ou des rites de passage.
*comment s'exprime la peur chez les adolescents ?
La mythomanie, la simulation pour échapper à un contrôle qui fait peur.
L'inhibition, timidité excessive.
Les obsessions ou rituels : faire quelque chose en sachant que c'est inutile contre la peur.
Comportement normaux à priori qui peuvent devenir pathologiques si ils sont par exemple en surnombre.


* en fait toutes ces peurs cachent une peur originelle commune à tout être humain :
                                                     

 L’angoisse de séparation ( solitude, abandon )
                                                                                 qui cache elle- même l’angoisse fondamentale

                             LA PEUR DE LA MORT 

 

Quand consulter ?
Si l'enfant semble extrêmement perturbé ; S'il ne s'en sort pas ,bien que vous apportiez toute votre aide. Ou aussi s'il ne veut pas vous en parler....Une peur importante peut nuire au développement de l'enfant en se généralisant.
Lorsque l'enfant est en proie à une angoisse si forte qu'il en perd l'appétit, le sommeil et le sourire, un spécialiste devrait être consulté.
Là où ça devient pathologique c'est quand la peur prend le dessus du réel ,que l'enfant angoisse d'une chose qui n'est pas là et qu'il croit que cette chose va lui tomber dessus même dix mois après avoir vu un truc effrayant = traumatisme.

😍Premiers petits conseils :
Rassurer l'enfant, l'encourager à s'exprimer sans se moquer ou punir
Accepter la peur de votre enfant comme quelque chose de normal
Aider l'enfant à surmonter sa peur en lui montrant l'objet de sa peur de manière graduelle et l'encourager.

Pour les 3- 6ans on table sur l'imaginaire ; racontez leur des contes avec des super héros type invaincus par exemple Hercule ou superman comme ça il pourra s'imaginer terrasser les monstres.
Pour les 6-12 ans : L'enfant doit apprendre à évaluer le danger donc on peut lui proposer des documentaires DVD, livres sur les dangers terrestres ( inondations, sinistres) pour lui montrer que c'est quelque chose de rare.
SURVEILLEZ la télé et ne laissez pas l'enfant regarder n'importe quoi, internet , le web est aussi à surveiller certains sites sont très malsains.


@ Parents vous êtes un modèle donc observez vos propres comportements face à la peur.

😍Solutions face aux peurs par caractéristiques :
° Peur du noir des fantômes : ne pas mettre l'enfant dans votre lit (ça doit rester exceptionnel) sinon on reconnaît le danger dans le lit de l'enfant. Une veilleuse. Un doudou qui mange les monstres. Lui expliquer de quoi il a eu peur ,discuter de la journée.
Les mots qui sauvent à 4h00 du mat...: « j'ai confiance en toi, je sais que tu es capable, dors tu ne risques rien,  tu peux y arriver.» L'enfant doit être encouragé.
° peurs des animaux
Mettre l'enfant en contact progressif, par étapes, avec l'animal jamais d'un coup.
Éviter la sur-protection et l'attitude maman poule



❤ACCOMPAGNER LA PEUR :
Dans son livre « Au coeur des émotions de l’enfant », Isabelle Filliozat nous invite à suivre 8 étapes pour accompagner les peurs des enfants.
1.Respecter l’émotion
Les émotions sont réelles pour les enfants. Il est donc essentiel de les respecter, même si leur logique ou leur rationalité nous échappe. L’enfant a toujours ses raisons. Il a VRAIMENT  peur...
2.Ecouter
Ecouter, c’est aider l’enfant à verbaliser ses peurs afin d’en diminuer l’affect. C’est aussi l’accompagner pour faciliter la rationalisation de ses pensées.
Ainsi, « j’ai peur du chien » pourra être réorienté vers « qu’est-ce qui te fait peur chez le chien ? ». Ainsi, l’enfant raconte son ressenti et donne du sens à ses pensées. Les images qu’il a en tête perdent peu à peu de leur intensité.
Dans les techniques d’écoute, n’hésitez pas à reformuler ce que vous entendez sans juger en intégrant le vocabulaire des émotions et en évitant absolument le mot « pourquoi » qui est bloquant pour l’enfant.
Notons aussi que la présence bienveillante et le contact physiques sont des facteurs apaisants.
3.Accepter et comprendre
« je comprends », « oui », « je vois à quel point cela te touche » : toutes ces expressions indiquent à votre enfant qu’il peut parler en toute sécurité et que la confiance est partagée, qu’il ne sera pas moqué, qu’il a le droit de ressentir et d’exprimer des émotions et, surtout, que vous êtes là pour l’aider à trouver les ressources en lui, des solutions, des explications sans imposer votre conception, votre vision, vos attentes.
4.« Moi aussi »/dédramatiser
Un récit personnel sur les peurs et les craintes que vous aviez à son âge encouragera votre enfant à vouloir surmonter les siennes. Ne mentez pas , soyez sincère. Vous pouvez aussi évoquer une peur actuelle que vous avez mais que votre enfant n’a pas. Ainsi, il se sentira plus fort que vous. Vous pourriez même lui demander des conseils pour vous aider à surmonter votre propre peur.
 5.Chercher ses ressources intérieures et extérieures
  Rappelez à votre enfant les expériences passées pendant  lesquelles     il a surmonté ses peurs.

 Ravivez les souvenirs et les émotions liées.
6.L’aider à libérer son énergie
Comme l’explique Isabelle Filliozat, lorsque nous avons peur, nous avons le diaphragme qui se contracte. Afin de le détendre, utilisez une de ces techniques : respirer profondément, chanter, crier ensemble pour libérer l’émotion, marcher et rire (via le jeu par exemple).
7.Satisfaire le besoin d’information
Maintenant que votre enfant est apaisé et que le stress est retombé, vous pouvez l’inviter à trouver des informations concrètes sur sa peur : « comment savoir si ce chien est dangereux ? » « D’où  peuvent venir ses ombres selon toi ? »,… Pour trouver des informations : dans les livres, en faisant des expériences (avec une lampe pour les ombres par exemple), en regardant un documentaire,… Cette démarche développe l’autonomie de l’enfant qui est acteur de son expérience.
8.Faire élaborer différentes réponses possibles face à la peur
Isabelle Filliozat suggère notamment de faire naitre l’envie pour contrer la peur. Ainsi, « qu’est-ce qui pourrait te donner envie de caresser le chien ? » . Ainsi, la tonalité des images mentales associées à la peur change. La contrainte disparait au profit de l’envie. 




Aider les enfants à apprivoiser leurs peurs

La peur est une émotion fondamentale. La nier ou l’enfouir ne sert qu’à en augmenter l’intensité et à s’exposer au risque qu’elle surgisse plus tard.
Pour les enfants, la peur est réelle. Nous nous devons de la respecter et de fournir les outils pour apprendre à l’écouter et à l’apprivoiser si elle devient trop envahissante.

1) Poser des mots et localiser la peur : favoriser la pleine conscience.
La peur est à la fois une pensée et une sensation. Poser des mots dessus et ressentir la sensation dans le corps permet d’en diminuer l’affect.
Vous pouvez poser ces questions à votre enfant : « Que ressens-tu ? », « Où le ressens-tu ? »
Aidez-le en reformulant ce qu’il vous dit et en y insérant du vocabulaire qui représentera mieux son ressenti.
Exemples de phrases pour aborder les peurs  :
« Tu as le droit d’avoir peur. »
« Je vois que cette situation t’inquiète…  »
« De 1 à 10, quel est l’intensité de ta peur ? »
 « Voyons ensemble quelle est l’origine de cette crainte. »
 « De quoi as-tu besoin actuellement ? «
« Quelle image as-tu en tête quand tu penses à cette peur ? »
« Peux-tu dessiner ton anxiété/ta peur ? »
 » Et si nous donnions une touche amusante à cette peur dessinée ? Un nez rouge, un t-shirt à pois, une grosse voix »
« On compte jusqu’à 10 pour aider la peur à s’envoler ? »
« Et si ta peur avait peur, que lui dirais-tu ? »
« Inspire en comptant jusqu’à 5 et expire lentement ».
« Quel petit pas vas-tu faire pour te rapprocher de ton objectif ? «

A ne pas faire :

– lui poser trop de questions (préférez une écoute bienveillante à base de « je vois », « oui », « oh », « ha »,…)
– nier sa peur : « Mais non, tu n’as aucune raison d’avoir peur ! » « Sois courageux ! »
– l’humilier : « Il n’y a que les bébés qui ont peur ! » ‘ »Ton copain, n’a pas peur, lui. » « tu me fais honte ! Tu es le seul enfant à avoir peur comme ça !
– l’ignorer : « Sinon, tu veux manger quoi à midi ? »



2) Tenir un discours positif sur la peur :
la peur est utile
Avoir peur est naturel. La peur est comme un voyant lumineux qui s’allume sur un tableau de bord qui nous alerte de dangers possibles et nous invite à faire attention. La peur est donc une protectrice. Elle a juste besoin qu’on la sécurise parfois car elle peut avoir tendance à imaginer des choses qui n’existent pas réellement.
La peur aide à grandir...

3) Associer la peur et la joie

Les attractions d’une fête foraine, un toboggan rapide, de l’accro-branche, etc. sont d’excellents exercices pour apprendre à surmonter la peur et éprouver de la joie (et une décharge d’adrénaline selon l’activité). Cette alternance peur/joie aide à se débloquer.
Afin de favoriser l’ancrage positif, rejouez la scène avant/pendant/après : « tu avais de l’appréhension/tu as testé/tu as éprouvé de la joie/tu as dépassé cette peur et maintenant, tu veux recommencer ! ». Cette description sans jugement (accompagnée d’une verbalisation émotionnelle) facilite la mémorisation et aide l’enfant à avoir confiance en lui.
4) Changer l’image qui déclenche la peur
La peur peut se déclencher par une pensée qui prend la forme d’un mini-film mental ou d’une image. Ainsi, on peut montrer à l’enfant qu’il est possible de modifier ce mini-film et cette image pour les rendre moins impressionnants.
Voici comment :
« Je vois que le monstre dont tu as rêvé t’a vraiment effrayé. Et si il avait une voix très aigüe comme celle d’un dessin animé ? A quoi ressemblerait-il avec une robe blanche avec des pois rouges ? Et si tu lui dessinais des moustaches ? Faisons rentrer le monstre dans un canon et envoyons-le sur une autre planète ! Et si tu buvais une potion qui te rendait dix fois plus grand et fort que le monstre, tu crois qu’il prendrait ses jambes à son cou ? »

5) Rationaliser et expliquer :

La peur est-elle justifiée ? Pour le savoir, prenons une feuille et listons tout ce qui peut arriver. Voyons ensuite si c’est réaliste ou pas.
Cette approche rationnelle va permettre aux fonctions supérieures du cerveau de votre enfant de reprendre le dessus sur le cerveau d’en bas (et calmer l’amygdale)( voir réflexion sur le cerveau )
Il est ainsi judicieux de s’improviser « enquêteur scientifique » en guise de jeu de rôle. L’objectif est de s’amuser à trouver des explications pour chaque peur : »une ombre effrayante sur le mur ? C’est celle de ton doudou. Regarde, si nous éteignons ta veilleuse, elle disparait ».
N’hésitez pas à faire des schémas qui sont encore plus évocateurs pour l’enfant (de plus, il pourra utiliser une gomme, qui lui servira aussi d’outil mental).

6) Confier vos propres peurs

Exprimer vos peurs et surtout les actions que vous menez pour les surmonter quand elles sont trop excessives est très important pour votre enfant. Vous êtes son modèle. Il vous imite et les émotions que vous ressentez, il les ressent aussi (et les voit/entend par les micro-expressions faciales, la voix et l’attitude). Ce témoignage personnel permettra aussi à l’enfant d’apprendre à raconter ses propres expériences et à acquérir du vocabulaire pour cela. La narration est un moyen de clarifier ses pensées.


 7)UTILISER la roue des choix



un outil qui aidera les enfants à apprivoiser leur peur en choisissant une méthode qui leur convient.
Les techniques s’appuient sur le mouvement, l’imagination ou encore la pleine conscience.
Elles favorisent donc l’identification de l’émotion, son acceptation et sa traversée.
Du fait que cet outil soit celui de l’enfant, il renforcera progressivement sa confiance en lui à mesure que les peurs seront surmontées.

Deux autres messages importants à transmettre :
une peur évitée se renforce
la peur est contagieuse


8 ) ÉGALEMENT ...jeu des ombres chinoises,faites avec les mains !
 S’entrainer à la peur : livres, films,…
 UTILISER Le talisman et la formule magique
Le talisman est une manière de mobiliser l’attention de votre enfant sur sa force intérieure. Ainsi, invitez-le à choisir une « pierre de la chance », un bracelet ou encore une carte qu’il gardera sur lui. C’est spirituel et efficace. Vous pouvez associer cette démarche à l’adoption d’une formule puissante autant que « magique » : « Donnez-moi la force ! » « Peur à la noix, je n’ai pas besoin de toi ! »



ou d' autres outils :

° La pleine conscience avec la roue de Dan Siegel
: cette roue permet d’apprendre à l’enfant à se dissocier de ces pensées et à choisir sur quoi se concentrer. Précieux. 


° Les histoires du soir
: voici une sélection de livres pour apprivoiser la peur.
Balthazar n’a pas peur du noir.
L’ogre qui avait peur des enfants.
La peur de Catherine Dolto.
Que font les monstres quand ils ne se cachent pas dans l’ombre ?

– des livres pour lutter contre la peur du noir chez les 3/5 ans.
Les phrases à dire pour renforcer la confiance en soi de votre enfant

° La méditation : elle aidera l’enfant à observer ses pensées et à focaliser son attention.
"Calme et attentif comme une grenouille "est le meilleur choix.

° le  jeu des cartes anti-peur ( quelques exemples )



 
 
ATTENTION : l’idée est d’écouter et d’accepter la peur ressentie et non de la moquer. Chaque émotion est utile. Ce jeu est par conséquent un excellent moyen d’exprimer les peurs excessives et douloureuses en les exposant à la lumière du jour, et en régulant leur effet via l’imagination fertile des enfants.
Règles du jeu :
Citez une peur à tour de rôle et tirez au sort une carte anti-peur.
Ensuite, inventez une histoire en intégrant la carte anti -peur

Avantages du jeu :
il permet de verbaliser les peurs (et l’écoute)
il en change l’affect (c’est amusant)
il aide les enfants à construire des outils mentaux grâce à leur imagination
il développe l’art de la narration
il permet aux enfants de découvrir que les parents ont des peurs aussi !

Vous aurez besoin :
de papiers
de crayons de couleur
de pâte à modeler
de la musique joyeuse (à diffuser ou chantonner)

En voici quelques -unes :


Détail des cartes :
Le coffre à peurs : la peur est mise dans un coffre fermé à double tour.
Le rétrécisseur : la peur rétrécit jusqu’à la taille d’un moustique.
Le super-héros : il ne craint pas la peur et en mange au petit-déjeuner.
Le relooking : une peur qui se transforme en clown, c’est bien plus rigolo.
La voix de cartoon : quand la peur prend la voix de Mickey, elle ne fait plus vraiment peur.
La peur de la peur : même les peurs ont peur. Cette carte confronte la peur à sa plus grande peur : elle s’enfuit !
La statue de pierre : la peur croise ton regard et elle se change en pierre. Elle fera une jolie décoration dans le jardin à côté des plants de tomates.
Chifoumi : joue à papier-pierre-ciseau avec la peur. Si tu gagnes, elle part ! Si tu perds, rejoue !
La douche : les peurs sont poussiéreuses et n’aiment pas la douche. Tant mieux, c’est le grand nettoyage de printemps ! Et hop, on savonne aussi !
La musique détestée : il parait que les peurs ne sont pas très fans de musiques joyeuses. Ça tombe bien, tu en as plein dans ta playlist !
L’odeur horrible : elles ont le nez délicat les peurs. Envoie-leur l’agent putois pour qu’elles ne remettent plus les pieds chez toi !
Le super ventilateur : la peur est balayé par la puissance du super ventilateur ! Souffle fort !
La formule magique : la peur craint la magie des enfants. Récite la formule de ton choix et vois comme la peur disparait à jamais !
La potion : la potion te donne 1000 points en courage. De quoi affronter n’importe quelle peur.
Chewing-gum : la peur se transforme en boule de chewing-gum au parfum de ton choix. Hum !
La couleur protectrice : quelle est ta couleur préférée ? C’est celle-ci qui te protège contre les peurs. Imagine toi revêtir cette couleur qui te protège de toutes tes peurs.
Le monstre à déguster : oh ! La peur se change en cupcake délicieux ! Tu vas en faire qu’une bouchée.
Le monstre en peluche : la peur se transforme en douce peluche prête à recevoir des énormes câlins.
L’aimant : il attire toutes les peurs et les immobilise.
Les chaines incassables : la peur est maintenant prisonnière des chaines magiques les plus robustes au monde (et même dans la galaxie).
Le chien qui effraye les peurs : ce chien est tellement mignon que les peurs s’enfuient quand il est là !
Les bisous : les peurs détestent les bisous. Elles se liquéfient et disparaissent dans l’évier quand elles en reçoivent.
La pâte à modeler : fabrique ta peur avec de la pâte à modeler et défoule-toi dessus !
Le papier en boule : dessine ta peur sur un papier. Roule-le en boule et jette-le à la poubelle ! ça va mieux ?
Bouclier anti-peur : le bouclier anti-peur repousse toutes les peurs et ne s’abime jamais.



😍Une question à poser aux enfants pour les aider à apprendre, dépasser leurs peurs et à relever des défis!


Notre cerveau nous protège…même lorsqu’il n’y a que des dangers imaginaires
L’amygdale est située dans notre cerveau. Elle fonctionne comme un système d’alerte. Elle se déclenche lorsque nous nous sentons en danger (que le danger soit réel ou non). Dans ce cas, elle prend l’avantage sur le cortex, siège des fonctions supérieures.
C’est grâce à cette amygdale que nous avons survécu jusqu’à aujourd’hui en échappant à nos prédateurs.
Le problème est que l’amygdale annihile toutes les fonctions essentielles à la réflexion. Et elle nous place dans l’impossibilité de répondre aux questions primordiales pour notre développement, privilégiant la survie (fuite/défense/immobilité). Elle court-circuite le rôle du cortex qui excelle dans cette partie.
Ainsi, nous pouvons être dans l’incapacité de tenter une expérience parce que la peur nous tétanise.
Heureusement, il y a une astuce pour débloquer les peurs irrationnelles.

Comment éviter de réveiller l’amygdale ?
Un des moyens d’apaiser l’amygdale est de centrer son attention sur le présent, et plus particulièrement sur un « petit pas », c’est-à-dire un objectif qui ne paralyse pas. En effet, quel que soit le voyage qu’on entreprend, la première étape est ce pas. Il permet de se jeter à l’eau sans ressentir de peur.

 
La question-clé à poser (et à se poser) est donc :
« Quel petit pas vas-tu faire pour te rapprocher de ton objectif ? »

Cette question évite l’exagération mentale et permet de ne considérer les obstacles que comme un enchainement de mini-objectifs (qui ne font plus peur).
C’est une véritable philosophie de vie qui apprend à adopter un point de vue optimiste face aux difficultés.
Pour compléter et consolider, vous pouvez vous servir de la métaphore de la montagne à déplacer (pierre par pierre), de la route à parcourir (pas après pas) ou encore des Lego à monter (pièce par pièce). La montagne à gravir est une excellente image aussi avec une notion de progression/ascension.

Renforcement positif

Il est également essentiel d’observer (sans juger) l’accomplissement de chaque pas et d’inviter l’enfant à se féliciter :
« Tu viens de faire un pas ! «
« Tu progresses chaque jour. »
« Que ressens-tu maintenant que tu as réussi ce premier pas ? »
« Tu es tombé(e) ? C’est un pas quand même ! Puisque tu t’exerces à chaque tentative ! »

N’oublions pas d’encourager aussi les intentions d’action :

« je vois que tu as envie/ l’intention de faire ce pas ! »

Ou à guider la réflexion pour ajuster le pas tout en valorisant le ressenti émotionnel :
« Si tu ressens encore de la peur à l’idée de faire ce pas, écoute-la. C’est le message qu’il existe peut-être un autre petit pas plus accessible. As-tu une idée de ce pas ? «

Cette méthode du petit pas est ce que l’on nomme la voie du Kaizen. Elle a été développée par Robert Mauer dans le livre « un petit pas peut changer votre vie« méthode très puissante à la fois pour les adultes et pour les enfants.

* NE PAS OUBLIER QUE :


La peur peut naitre d’un déficit de confiance en soi.
Il est donc important pour l’enfant de s’entendre dire par ses parents « Je crois en toi », « Tu es capable » ou encore « Je vais te raconter comment tu as réussi à apprendre à faire du vélo malgré ta peur.

@" ce que papa m'a dit " : un très beau livre qui permet de construire la confiance et ainsi de vaincre ses peurs
            

 

" Le mot de la fin " ...de Béatrice Copper- Royer    
                                                         

 ( psychologue ) :

" Ce qui ferait vraiment peur aux enfants , c’est que les adultes que nous sommes soient eux-mêmes aux prises avec tant de peurs qu’ils en oublient d’être des parents rassurants , capables de leur apprendre à reconnaître leurs émotions : peur, joie , jalousie , tristesse et toutes ces peurs qui dans l’enfance  sont autant de loups tapis dans les recoins de l’imaginaire  "

 
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Livres références :* Peur du loup, peur de tout : Béatrice Copper –Royer . Ed. Albin Michel
                              * Les peurs de votre enfant  . Ed . Odile Jacob

Pour les enfants : Ed Ecole des loisirs
                               * Ninon a peur de l’eau
            

                   * Le chevalier qui avait peur du noir
                               * Mariette et Soupir ont perdu maman
                               * Jérôme et le dragon
                               * Promenons nous dans les bois