LE NOUVEAU PETIT LIVRE DE FRAMBOISE A FAIT LE BUZZ SUR FRÉQUENCE PLUS ! !

Le témoignage de Karine DE LUCA / AVOCAT






Ce 8e petit livre rouge ...

Ce 8e petit livre rouge ...parle d'un évènement douloureux: les violences sexuelles faites aux enfants. Près d'un enfant sur cinq est victime de violence ou d'abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant : la clé est de bien communiquer avec lui, de PARLER VRAI dans un climat de confiance. La sexualité est encore un sujet tabou. Si aborder ce sujet avec votre enfant vous embarrasse, ce petit livre vous sera utile ...car il vous offre des clés pour apprendre à l'enfant à se protéger et à oser dire « NON ! ». Il s'adresse à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.Il parle à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus « notre enfant intérieur ». Les mots, plutôt que les maux !

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* Vous pouvez dès aujourd'hui le commander ICI en ligne , paiement par CB . " ajouter au panier " OU par courrier : voir bon de commande ci -après , paiement par chèque. *Le livre vous sera livré en priorité...DÉDICACÉ si vous le désirez ! MERCI POUR VOTRE CHALEUREUX ACCUEIL ET VOTRE CONFIANCE ... Bien à vous. FRAMBOISE

8. JE NE VEUX PLUS ALLER A L'ÉCOLE - THÈME : Les violences sexuelles faites aux enfants -

12 € + 1 € expédition -livraison
Si vous souhaitez une dédicace, écrivez le prénom ICI !

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Vous pouvez aussi utiliser ce bulletin de commande à imprimer :

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Post du mois à lire , après la présentation des petits livres rouges !


Les mots, plutôt que les maux !

Bienvenue dans l'univers des petits livres rouges de FRAMBOISE !

Des petits livres rouges pour « parler vrai »...
Ils racontent l'histoire vécue par un enfant
Ils parlent de la vie - naissance, secrets de famille, séparation , divorce, maladie, mort, identité, déménagement, jalousie...
Ils sont des outils de communication
Ils offrent des pistes de réflexion
Ils interpellent nos émotions.

Ils s'adressent à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.
Ils parlent à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus
« notre enfant intérieur ».

Je vous invite à découvrir la collection ci- après

FRANÇOISE POULET alias FRAMBOISE


pour tout renseignement ( PAR EX.envoi en nombre ,édition de facture ou autre ), me contacter par tel . +33 684868770 ou par mail : framboise.editions@orange.fr
Merci !





2 .le rhume de hanche; thème : le divorce* 12€+ 1€ expédition -livraison

LE RHUME DE HANCHE - livre n°2 - THÈME : le divorce- 12€ + 1€ expédition -livraison

3. Il est perdu mon papa ; thème : la mort d'un proche * 12€ + 1€ expédition -livraison

IL EST PERDU MON PAPA - livre n°3- THÈME : la mort d'un parent -la maladie grave - 12 € + 1 € expédition -livraison

4 . MON NOM DE FAMILLE : connaître ses origines, son identité * 12€ + 1€ expédition -livraison

MON NOM DE FAMILLE - livre n°4- THÈME : l'identité, connaître ses origines - 12 € + 1 € expédition -livraison

5. La maison de papa ; thème : le déménagement * 12€ + 1€ expédition -livraison

LA MAISON DE PAPA - livre n°5- THÈME : le déménagement - 12 € + 1 € expédition-livraison

6. MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - Thème :le cancer de l'enfant -

MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - livre n°6 - THÈME : le cancer de l'enfant - leçon de vie face à la maladie - 12€ + 1 € expédition -livraison

7. LA PETITE SœUR ; THÈME : LA JALOUSIE DANS LA FRATRIE * 12 € +1 € EXPÉDITION -LIVRAISON

LA PETITE SœUR - livre n° 7 - THÈME : la naissance d'un enfant est une épreuve pour chacun au sein de la famille ; c'est un chamboulement pour l'aîné -assailli d'émotions diverses - relégué au second plan par le nouvel arrivant . Un nouveau regard sur la jalousie pour mieux comprendre ce qu'un enfant peut traverser.- 12 € + 1 € expédition- livraison .

1. LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL ; Thème : la naissance, un secret de famille...

le premier petit livre rouge
N'EST PLUS EN STOCK ! :
" LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL " THÈME : secret de famille, secret de naissance...
RÉÉDITÉ PLUSIEURS FOIS ...MAINTENANT ÉPUISÉ!

je vous l' offre en ALBUM PHOTO ou en DIAPORAMA en copiant ce lien :

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ou en vidéo sur youtube


LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL

JE SUIS À VOTRE ÉCOUTE...

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Après la présentation des petits livres rouges, voici le blog !



LE POST DU MOIS.

Etes-vous un parent "hélicoptère " ??

  Être un « parent hélicoptère », c’est une image pour décrire le parent qui semble toujours « voler » au-dessus de son enfant pour préve...

samedi 30 avril 2022

Parler de politique et d'élections avec vos enfants , COMMUNIQUER avec eux sur ces sujets , est -ce utile ? est-ce conseillé ?



Parler de politique et des élections avec vos enfants, est-ce conseillé ??

Propos recueillis par Mathilde LE PETITCORPS

L'élection présidentielle vient d'avoir lieu ...et les élections législatives suivent en juin prochain . Les plus jeunes en ont forcément entendu parler et ont peut-être des questionnements  Quelle est donc la bonne manière de parler de politique et des élections avec vos enfants ? Le pédopsychiatre Stéphane Clerget nous répond.
 Certains enfants posent des questions  mais d’autres pas. Alors faut-il leur en parler ? Est-il recommandé d’évoquer, plus généralement, la politique ? À partir de quel âge ? Comment faut-il aborder le sujet ? Et à l’inverse, qu’est-ce qu’il ne faut pas dire ? Éléments de réponse avec Stéphane Clerget, pédopsychiatre et auteur de L’intelligence spirituelle de votre enfant : la révéler et la développer, aux éditions Leduc, sorti en avril 2021.

Stéphane Clerget, faut-il parler des élections et plus généralement de politique avec ses enfants ?

En tant que parent, il est important d’expliquer aux enfants la politique. La famille est en effet le premier terrain de discussion politique, c’est généralement là qu’un enfant forge de façon précoce ses principaux repères politiques, voir idéologiques. Et l’élection présidentielle est le moment idéal pour qu’il s’en mêle. Pour eux c’est l’élection la plus facile à appréhender. C’est celle qui les intéresse le plus. Et d’ailleurs, cela les amuse beaucoup lorsqu’il y a des débats politiques à la maison et ça les intéresse de savoir « qui est le chef ».

D’autant plus que les enfants sont initiés au vote assez tôt, depuis les années 1970. Dès le CP, ils élisent des délégués. Ils peuvent donc se sentir concernés à partir de six ans, même s’ils assimilent le président ou la présidente un peu comme un roi, une reine, un super papa ou une super maman. Et comme ils ont une fausse idée sur la question, il est essentiel de leur expliquer la réalité.

Faut-il attendre qu’il nous en parle ?

Le mieux, c’est effectivement que la conversation vienne des enfants. Il est d’ailleurs assez rare qu’ils n’en parlent pas. Mais si ce n’est pas le cas, cela peut être bien d’aborder le sujet et notamment des institutions et des pouvoirs du président étant donné qu’ils vont de toute façon l’apprendre à l’école.

À partir de quel âge est-il recommandé d’engager ces conversations ?

Cela fait partie du programme scolaire, en cours d’instruction civique, dès l’âge de 7 ou 8 ans. Je recommande donc d’en parler dès 7 ans.

De quelle manière faut-il s’y prendre pour leur en parler ?

Le mieux, c’est de rendre la politique concrète. On peut par exemple proposer à son enfant de nous accompagner pour aller voter à l’élection présidentielle, ou à un tout autre moment, on peut aussi proposer à son enfant de venir lorsque l’on se rend à la mairie ou alors à un rendez-vous avec le maire de sa commune.

« L’objectif est de développer l’esprit critique de l’enfant »

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire ?

Il ne faut pas dire « lui, il est méchant », « lui, il est gentil ». Ni « il faut voter pour untel ». Ce n’est pas du parti pris qu’il faut faire mais plutôt de l’éducation à la politique. Le rôle du parent n’est pas que son enfant vote comme lui. L’objectif est de développer l’esprit critique de l’enfant.

Que conseillez-vous de dire pour développer l’esprit critique de son enfant ?

Il faut essayer d’avoir une position un peu neutre en expliquant ce qui caractérise la droite, la gauche et les différents partis. Utiliser « je crois que », « je vois les choses ainsi », lorsqu’il est difficile de faire preuve de neutralité. Cela fait comprendre à l’enfant qu’il n’existe pas une seule façon de penser.

L’enfant va forcément demander pour qui ses parents votent lorsque la conversation est entamée. Si on décide de le lui dire, là encore il faut utiliser des tournures de phrases comme : « J’ai l’impression que ce candidat va plus défendre ceci ou cela ». On peut aussi lui dire de ne pas le répéter à ses camarades, si on ne le souhaite pas. C’est donc aussi l’occasion d’expliquer que le choix politique est personnel. Et surtout, il faut profiter des conversations sur l’élection présidentielle pour aborder la politique en général.

De quelle manière ?

En expliquant le fonctionnement de la République, le rôle et les pouvoirs du président, des ministres. Et puis, dans un second temps, il est possible de parler des autres instances politiques, d’expliquer le rôle des députés, puis des sénateurs.

On peut même élargir le sujet en détaillant ce qu’est la démocratie, puis les autres types de régimes, comme la monarchie constitutionnelle. On peut aussi parler des pays non démocratiques, et cela peut être l’occasion d’évoquer l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Et quelle posture prendre vis-à-vis des adolescents ?

À l’adolescence, le dialogue sur la politique est également important. L’adolescent peut en effet se servir de la politique pour s’opposer à ses parents. Il est alors intéressant de leur apprendre à débattre, sans critiquer l’opinion de chacun et en apprenant à s’écouter, ce qui n’est pas facile pendant cette tranche d’âge. En tant qu’adulte, il faut alors être capable d’écouter les arguments de son enfant même lorsqu’ils hérissent le poil.

D' AUTRES AVIS ..

• Est-ce utile d'en parler?

Finances, dépenses publiques, énergie... Certains sujets sont-ils trop difficiles à évoquer avec un enfant? La politique, ce n'est pas qu'une affaire de grands, considère Marion Joseph, rédactrice en chef d'Astrapi, un bimensuel qui s'adresse aux enfants de 7 à 11 ans. "Il n'y a pas de sujet trop compliqué en soi."

"L'élection présidentielle, c'est l'opportunité idéale pour les initier à la citoyenneté. Les enfants voient des affiches, entendent les candidats à la télévision, des bribes de discussion des adultes, le jour J on les emmène voter, on passe dans l'isoloir."

Astrapi a d'ailleurs consacré un numéro spécial au mois de mars dédié à l'élection présidentielle et au métier de président. Mais pour parler ces sujets, l'idéal est de rester le plus concret possible, préconise Marion Joseph. Et d'éviter donc les concepts et notions trop abstraites.

"La démocratie, c'est un grand mot mais on peut leur expliquer simplement que nous avons la chance de choisir les personnes qui vont nous représenter et prendre des décisions pour nous", conseille-t-elle.

"Avec les élections législatives qui vont suivre, on peut comprendre qu'un président ne décide pas tout seul, qu'on élit des députés qui votent les lois. Et que ces dernières concernent différents aspects de leur vie quotidienne, de l'école aux hôpitaux."

• Certains sujets sont-ils tabous?

Terrorisme, sécurité, questions internationales - comme avec la guerre en Ukraine... Faut-il sciemment éviter certaines thématiques, trop délicates ou sensibles? Sylvie Baussier, auteure de Les Élections, questions/réponses chez Nathan - un livre qui s'adresse aux enfants dès 7 ans - estime qu'il n'y a pas de sujet tabou. Mais elle recommande de ne pas devancer les interrogations des enfants et d'attendre qu'ils formulent d'abord leurs questions.

"Il ne faut pas avoir peur de leurs demandes, d'autant qu'il y a beaucoup de livres destinés aux enfants qui peuvent servir de support. L'idée, c'est de leur transmettre les bases, une culture, des références historiques."

Et surtout les outils d'une réflexion. Un point de vue que partage Denis Langlois, auteur de La Politique expliquée aux enfants, un classique destiné aux enfants à partir de 11 ans, illustré par Plantu, et réactualisé cette année à l'occasion de la présidentielle. Il estime ainsi que parler de politique revient à évoquer "la façon dont les êtres humains organisent la vie collective sur Terre".

"La société s'est dépolitisée ces dernières années, on le voit avec le peu d'intérêt que suscite l'élection présidentielle", note-t-il. "Mais si l'on ne se préoccupe plus de politique, la démocratie sera aux mains de politiciens professionnels et de technocrates."

"Il ne s'agit pas de faire un cours de militantisme forcé mais ce n'est pas à 18 ans qu'on devient un citoyen", poursuit-il. "À 18 ans, on devient un électeur. Les enfants sont déjà des citoyens en construction."

• Faut-il prendre parti?

Quelle attitude adopter face aux questions parfois déconcertantes des enfants? Notamment sur la différence entre la droite et la gauche, les petites phrases de certains hommes et certaines femmes politiques ou les nuances entre des candidats de partis relativement proches sur l'échiquier politique? Faut-il s'engager?

"Cela peut paraître tabou, soit parce que les parents ont peur que les enfants répètent ce qui se dit à la maison, soit par crainte de les embrigader", pointe Marion Joseph, la rédactrice en chef d'Astrapi.

"La politique peut être très émotionnelle, qu'un projet nous enthousiasme ou qu'on déteste un candidat", estime-t-elle. "Mais on peut expliquer pourquoi on se sent de tel bord tout en ajoutant qu'il y a aussi des gens qui pensent autrement."

Pour Sylvie Baussier, l'idéal est d'exposer les différents points de vue, sans se montrer partisan et en dépassionnant le sujet. "Pour prendre parti, il faut avoir des bases", estime-t-elle. "La politique, ce n'est pas forcément vouloir changer l'opinion de l'autre mais échanger des points de vue, voilà ce qu'on peut leur dire. C'est même le principe d'une démocratie de ne pas être d'accord."

Denis Langlois, l'auteur de La Politique expliquée aux enfants, préconise au contraire une grande franchise, car nos opinions politiques nous échappent et se manifestent forcément devant les enfants. "On ne peut pas s'empêcher d'avoir une réaction en entendant certains propos, à la radio ou à la télévision. D'émettre un commentaire, un haussement de sourcil, une expression. L'enfant comprend très bien quelles sont les opinions de ses parents."

"On peut tout à fait lui dire 'voilà ce que je pense' mais ajouter que d'autres personnes  peuvent avoir un point de vue différent et tout à fait respectable. Que l'on peut en discuter, écouter le point de vue de l'autre, débattre et répondre à ses arguments. L'idée, c'est de l'aider à réfléchir et à se forger sa propre opinion."

• Quel vocabulaire employer?

Une seule contrainte pour parler de politique aux enfants: opter pour le vocabulaire qu'ils comprennent, avise Sylvie Baussier, dont l'ouvrage pose et répond à des questions comme "pourquoi certains électeurs s'abstiennent-ils?", "comment fait-on campagne?" ou encore "qu'est-ce qu'une liste électorale?". Pour cela, rien de mieux que de faire appel au quotidien des enfants.

"Le principe d'une élection, les enfants le connaissent aussi à l'école avec le choix de leurs délégués", remarque-t-elle. "Avec cette comparaison, on peut tout à fait aborder les choses simplement sans être simpliste."

"Les enfants peuvent comprendre des notions complexes, comme le fait que les élus ne reflètent pas toute la population ou que les élections ne sont pas toujours justes, notamment dans les fausses démocraties", poursuit l'auteure. À condition de bien définir les termes. "Quand on parle entre adultes, on a les codes, ce n'est pas le cas avec un enfant", insiste Denis Langlois, qui prend l'exemple du mot "citoyenneté".

"C'est un terme abstrait pour les enfants", explique-t-elle. "Aborder la politique avec eux pousse à définir les termes. Il ne faut ainsi pas hésiter à être le plus précis possible et à répondre à toutes les questions, souvent en cascade. Expliquer, définir, ce n'est pas simplifier ni bêtifier, c'est pousser la réflexion et s'élever." Et dans tous les cas, conclut-il, discuter de politique avec des enfants peut se révéler tout aussi bénéfique pour les petits que pour les grands.

Quelques livres pour en parler ...


 










La politique et la démocratie expliquées aux jeunes enfants dès 5 et 6 ans

« Ah si j’étais président ! » Glénat Jeunesse (Catherine Leblanc & Roland Garrigue)

Livre sur la politique pour les 5 et 6 ansQue feraient les enfants s’ils étaient président ? Des choses simples et drôles ! Envoyer leurs parents à l’école, élire leur meilleur copain premier ministre, installer un toboggan géant sur la Tour Eiffel ou encore donner aux soldats des pistolets à eau ! Un album tout en humour, dès 6 ans, où les enfants sont invités à rédiger eux-mêmes, à la fin du livre, leur programme électoral !

« Votez pour moi ! » Glénat Jeunesse (Martin Baltscheit & Marc Boutavant)

Livre sur les élections, la politique et la démocratie pour le CPLes élections sont-elles plus simples chez les animaux ? Pas si sûr… Alors que le lion est naturellement élu puisqu’il est le roi des animaux et donc le seul à se présenter, une petite souris vient mettre son grain de sel en faisant campagne ! C’est alors que d’autres animaux se réveillent et proposent eux aussi leur candidature ! Un vrai vacarme ! Cet album édulcoré permettra aux plus jeunes dès 6 ans de comprendre les dessous parfois trop abstraits de la politique !

« Jour de vote à Sabana » Ricochet (Sandrine Dumas Roy & Bruno Robert)

Album jeunesse sur la politique et la démocratie pour le CPIci aussi les animaux se présentent aux élections ! À chacun son programme ! Fil l’éléphant joue sur la courtoisie, Crocodile veut assurer la sécurité en fermant les frontières, Jipette la girafe veut prévenir des dangers, et Jo le lion est confiant et ne craint pas les autres candidats ! Mais lorsque le crocodile remporte l’élection, les animaux doivent réagir. Un album riche en sous-entendus qui nécessite de prendre un peu de recul pour expliquer aux enfants le fonctionnement de la politique.

« Les indésirables » Les 400 Coups (Paule Brière & Philippe Béha)

Livre jeunesse sur la politique pour les enfantsDans cet album, c’est la notion de tolérance qui est abordée. Le roi et la reine ont décidé d’enfermer toutes les personnes qu’ils nomment « les indésirables du royaume » : archipipiques, zizizozos, écrapoutifs, ogressieux ou encore salsoufrics … Ils vont vite s’apercevoir qu’ils vont se retrouver bien seuls … De drôles de termes qui résonnent dans nos esprits ! Dès 3 ans.

« Liberté, Egalité, Fraternité dès la maternelle » Chemins de Traverse Jeunesse (Agnès Rosenstiehl)

La politique et la démocratie expliquées aux jeunes enfantsQue signifient les valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité ? Pour expliquer ces notions aux enfants dès 3 ans, cet album illustré explique au travers d’exemples concrets les concepts et leurs limites. Car être libre, ce n’est pas faire tout ce qu’on veut quand on veut, c’est aussi respecter les autres !

 pour évoquer la politique dès 7 - 8 ans

« La Reine des Grenouilles ne peut pas se mouiller les pieds » Rue du Monde (Davide Cali & Marco Somà)

Livre sur la démocratie et la politique pour les enfants de 7 et 8 ansAlors que tout était si paisible pour les grenouilles, voilà qu’un mystérieux objet tombe dans leur étang ! Les grenouilles se précipitent pour l’attraper et la plus rapide d’entre elle en ressort une couronne ! Elle est alors élue « la reine des grenouilles ». Mais voilà que la reine commence à semer la zizanie et à interdire aux autres par exemple de chanter après le dîner. La légitimité de son règne commence à faire débat. Un album accessible dès 8 ans qui fera réfléchir les enfants sur la notion de pouvoir et de droits.

Des livres jeunesse sur la politique et la démocratie dès 9 - 10 ans

« La démocratie en BD » Casterman (Nathalie Loiseau)

BD sur la politique et la démocratie pour les 9 - 10 ans en CM1 - CM2À destination des 9 à 12 ans, cette bande-dessinée permet d’aborder le thème de la démocratie sous un autre format. Max et Nadia veulent se présenter comme délégués de leur classe de 6ème B, et préparer la plus belle des campagnes. Le problème ? Ils ne comprennent rien à la politique et ce ne sont pas leurs parents qui vont leur expliquer… Ils vont alors trouver des réponses d’eux-mêmes et apprendre ce qu’est un isoloir, une urne ou encore la définition de la démocratie ! Un album support pour répondre aux questions des enfants, et réviser soi-même quelques concepts !

et encore ...





C'EST AINSI QUE VOTRE ENFANT DEVIENT UN CITOYEN ...ET PLUS TARD UN ÉLECTEUR CONSCIENT DE SON RÔLE !




 


samedi 2 avril 2022

« J'en ai marre de crier » ...à propos du nouveau livre d'Isabelle Filliozat " PARENT SANS S'ÉNERVER " .

 

ACTUALITÉ / J'ai choisi de partager avec vous une réflexion sur le nouveau livre signé ISABELLE FILLIOZAT , un ouvrage qui "parle " à tous ... Ceci dans le but d'enrichir votre boîte à outils de Parents , pour savoir mieux COMMUNIQUER   avec vos enfants , pour savoir mieux instaurer cette COMMUNICATION - le mot du blog élu pour l' année - parents / enfants ..., tout simplement pour vivre ensemble en meilleure harmonie .


Le constat d'ISABELLE FILLIOZAT / papesse de la parentalité positive : « Avant de devenir parent, on rêve d'amour, de tendresse, d'enfants bien élevés et de calme à la maison. Puis un jour, on se retrouve en train de hurler... Quelle est l'origine de cette fureur ? Et comment y remédier ? » Et vous vous culpabilisez, vous vous croyez "mauvais parents "...et vous décidez un jour de changer d'attitude « J'en ai marre de crier » . Mais comment faire ??


  Dans Parent sans s'énerver, Isabelle Filliozat vous propose 10 défis ludiques et faciles pour adopter et/ou pratiquer la parentalité positive. 
Un livre illustré et rapide à lire pour faire face aux crises et aux pleurs sans stress. Des conseils pratiques, des bons réflexes et des exercices pour bien réagir quand la tension monte...

Découvrons ces 10 défis ludiques et faciles pour adopter et/ou pratiquer la parentalité positive.

       1. Je m'aime, même si je crie 

       2. Stop ! je suis l'adulte 

       3. Je respire 

       4. J'éteins le feu sous la casserole

       5. Je prends soin de mon enfant intérieur 

       6. Je diminue le climat de tension 

       7. Je réduis mon stress global en prêtant attention à mes besoins 

       8. J'établis mon réseau d'entraide

       9. Stop à la culpabilisation 

       10. Je prends soin de mon couple 

« Aider nos enfants à développer leur quotient émotionnel nous contraint à développer le nôtre. Aider un enfant à grandir, c’est grandir soi-même.
Nos enfants, miroirs de notre réalité intérieure, nous confrontent à nos limites et nous apprennent à aimer, ce sont d’excellents guides spirituels pour peu qu’on les écoute. »

Isabelle Filliozat

Changement climatique, violence, conflits, montée des extrémismes : comme nous, les enfants sont touché·es par ce qui se passe dans le monde.

Parfois, on a peur de ne pas trouver les bons mots ou de les inquiéter « pour rien » et on préfère ne rien dire. Il arrive aussi que l’on pense qu’ils sont trop petit·es pour comprendre, qu’ils ne ressentent pas notre stress ou simplement, que cela ne vaut pas la peine de leur expliquer…

Ce n’est pas ce qu’en dit  la psychothérapeute Isabelle Filliozat:

Quand nous côtoyons des enfants, que ce soit comme parents, membres de la famille ou professionnel·les, nous leur transmettons aussi (et surtout !) ce qui vit en nous.
D’où l’importance de prendre soin de nos émotions. Pour eux, et pour nous.

Dans notre vie, et en particulier quand une crise surgit, la présence, le réconfort ou les encouragements d’un parent peuvent nous être d’une aide précieuse, qu’on ait 5 ou 55 ans.
D’ailleurs, saviez-vous qu’avec les éléphants et les singes, les humain·es étaient l’une des seules espèces animales à rester en lien avec leur progéniture tout au long de leur vie ?
Le soutien bienveillant des parents compte beaucoup dans le devenir de chacun·e, d’où l’importance d’une éducation à la paix et à l’intelligence émotionnelle dès le plus jeune âge.
Toutefois, la tension et les désaccords, voire les conflits, arrivent. En famille, entre générations ou au sein de la fratrie, la communication n’est pas toujours évidente. Parents et enfants utilisent un langage et des références différentes, et parfois, ne se comprennent pas, ce qui est générateur de stress pour toutes et tous.

Isabelle Filliozat est psychothérapeute, spécialiste des émotions. Elle a écrit 41 livres (traduits en 28 langues) et donné plus de 1600 conférences à ce jour.
Elle est très engagée dans le soutien à la parentalité et a été nommée Vice-Présidente de la Commission des 1000 Premiers Jours (de la grossesse aux 2 ans de l’enfant) initiée par le gouvernement du Président Macron en Septembre 2019, sous la présidence de Boris Cyrulnik.

 

A l'occasion de la sortie de Parent sans s'énerver, Melody Lopez du podcast Me N' You a accueilli Isabelle Filliozat pour parler de manière décomplexée des problématiques du quotidien : régulation du stress, accueil et des émotions et harmonie familliale... Un échange déculpabilisant pour cet épisode bonus du podcast ! /

 pour info :

Me N’ You - Vivre Ensemble

Un podcast créé par Melody Lopez et Nadège Petrel. Me N' You, c'est le podcast du vivre ensemble.
Comment accompagner les enfants de manière respectueuse et joyeuse?
Comment mieux comprendre leur développement et transformer les difficultés en opportunités d'apprentissage? Avec ce podcast, nous avons envie d'éveiller votre curiosité, de vous faire découvrir de nouvelles approches pour vivre avec vos enfants et de vous apporter des informations qui vous seront utiles pour avancer dans votre quotidien. Parce qu'une personne qui est informée est une personne qui a le choix.

Me N' You - Episode Bonus avec Isabelle Filliozat "Parent sans s'énerver".

Bienvenue dans cet épisode bonus, consacré à la sortie du dernier ouvrage d’Isabelle Filliozat. Il s’intitule Parent sans s'énerver - faire face aux crises et aux pleurs sans stress - 10 jours pour changer”. Il est publié aux éditions Nathan. Isabelle Filliozat est une femme inspirante pour son engagement auprès des parents et des professionnels de l’enfance. Elle offre un éclairage sur les besoins de l’enfant, de l’adulte, sur l’intelligence émotionnelle et relationnelle. Isabelle Filliozat est psychothérapeute depuis 1982, spécialiste des émotions, elle a d’ailleurs écrit plus de 40 livres sur les thèmes de la parentalité, des émotions et des relations humaines. Isabelle Filliozat est également conférencière et a créé des formations pour transmettre son approche de la parentalité permettant de former des coachs parentaux et des animateurs d’ateliers Filliozat. En plus de l’ensemble de ces compétences, Isabelle Filliozat a été nommée Vice-Présidente de la Commission des 1000 Premiers Jours (de la grossesse aux 2 ans de l’enfant) initiée par le gouvernement du Président Macron en Septembre 2019, sous la présidence de Boris Cyrulnik.

Ecoutez ce  podcast créé par Melody Lopez & Nadège Petrel :

 
 
il est déjà en librairie ! 
 
 Isabelle Filliozat a animé très récemment en Belgique une conférence sur ce sujet ...prochainement sans doute, une vidéo publique sera postée sur Youtube !