MAI ! ACTUALITÉ ! INVITATION ...

MAI ! ACTUALITÉ ! INVITATION ...
INVITATION ‼️ je vous donne rendez-vous MARDI 14 MAI À 19H , À ARBOIS...dans la jolie librairie indépendante d' Alice Librairie Le Hamac pour une rencontre- dédicace autour du dernier petit livre rouge ❤️🟥 qui traite d' un sujet tabou: les violences sexuelles faites aux enfants ‼️soirée organisée en partenariat avec le Relais Petite Enfance d' Arbois sous la houlette de Pauline Grasser ❤️ JE VOUS SOUHAITE NOMBREU.SES.X ❤️ MERCI de transférer cette info ! Réservation souhaitée au 0384732709.

LE NOUVEAU PETIT LIVRE DE FRAMBOISE A FAIT LE BUZZ SUR FRÉQUENCE PLUS ! !

Le témoignage de Karine DE LUCA / AVOCAT






Ce 8e petit livre rouge ...

Ce 8e petit livre rouge ...parle d'un évènement douloureux: les violences sexuelles faites aux enfants. Près d'un enfant sur cinq est victime de violence ou d'abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant : la clé est de bien communiquer avec lui, de PARLER VRAI dans un climat de confiance. La sexualité est encore un sujet tabou. Si aborder ce sujet avec votre enfant vous embarrasse, ce petit livre vous sera utile ...car il vous offre des clés pour apprendre à l'enfant à se protéger et à oser dire « NON ! ». Il s'adresse à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.Il parle à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus « notre enfant intérieur ». Les mots, plutôt que les maux !

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* Vous pouvez dès aujourd'hui le commander ICI en ligne , paiement par CB . " ajouter au panier " OU par courrier : voir bon de commande ci -après , paiement par chèque. *Le livre vous sera livré en priorité...DÉDICACÉ si vous le désirez ! MERCI POUR VOTRE CHALEUREUX ACCUEIL ET VOTRE CONFIANCE ... Bien à vous. FRAMBOISE

8. JE NE VEUX PLUS ALLER A L'ÉCOLE - THÈME : Les violences sexuelles faites aux enfants -

12 € + 1 € expédition -livraison
Si vous souhaitez une dédicace, écrivez le prénom ICI !

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Vous pouvez aussi utiliser ce bulletin de commande à imprimer :

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Post du mois à lire , après la présentation des petits livres rouges !


Les mots, plutôt que les maux !

Bienvenue dans l'univers des petits livres rouges de FRAMBOISE !

Des petits livres rouges pour « parler vrai »...
Ils racontent l'histoire vécue par un enfant
Ils parlent de la vie - naissance, secrets de famille, séparation , divorce, maladie, mort, identité, déménagement, jalousie...
Ils sont des outils de communication
Ils offrent des pistes de réflexion
Ils interpellent nos émotions.

Ils s'adressent à TOUS, petits ou grands, QUEL QUE SOIT L'ÂGE, aux enfants, aux adolescents, aux adultes.
Ils parlent à chacun de nous, à l'enfant que nous avons été, bien caché à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus
« notre enfant intérieur ».

Je vous invite à découvrir la collection ci- après

FRANÇOISE POULET alias FRAMBOISE


pour tout renseignement ( PAR EX.envoi en nombre ,édition de facture ou autre ), me contacter par tel . +33 684868770 ou par mail : framboise.editions@orange.fr
Merci !





2 .le rhume de hanche; thème : le divorce* 12€+ 1€ expédition -livraison

LE RHUME DE HANCHE - livre n°2 - THÈME : le divorce- 12€ + 1€ expédition -livraison

3. Il est perdu mon papa ; thème : la mort d'un proche * 12€ + 1€ expédition -livraison

IL EST PERDU MON PAPA - livre n°3- THÈME : la mort d'un parent -la maladie grave - 12 € + 1 € expédition -livraison

4 . MON NOM DE FAMILLE : connaître ses origines, son identité * 12€ + 1€ expédition -livraison

MON NOM DE FAMILLE - livre n°4- THÈME : l'identité, connaître ses origines - 12 € + 1 € expédition -livraison

5. La maison de papa ; thème : le déménagement * 12€ + 1€ expédition -livraison

LA MAISON DE PAPA - livre n°5- THÈME : le déménagement - 12 € + 1 € expédition-livraison

6. MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - Thème :le cancer de l'enfant -

MAMAN METS TES LUNETTES ROSES - livre n°6 - THÈME : le cancer de l'enfant - leçon de vie face à la maladie - 12€ + 1 € expédition -livraison

7. LA PETITE SœUR ; THÈME : LA JALOUSIE DANS LA FRATRIE * 12 € +1 € EXPÉDITION -LIVRAISON

LA PETITE SœUR - livre n° 7 - THÈME : la naissance d'un enfant est une épreuve pour chacun au sein de la famille ; c'est un chamboulement pour l'aîné -assailli d'émotions diverses - relégué au second plan par le nouvel arrivant . Un nouveau regard sur la jalousie pour mieux comprendre ce qu'un enfant peut traverser.- 12 € + 1 € expédition- livraison .

1. LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL ; Thème : la naissance, un secret de famille...

le premier petit livre rouge
N'EST PLUS EN STOCK ! :
" LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL " THÈME : secret de famille, secret de naissance...
RÉÉDITÉ PLUSIEURS FOIS ...MAINTENANT ÉPUISÉ!

je vous l' offre en ALBUM PHOTO ou en DIAPORAMA en copiant ce lien :

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ou en vidéo sur youtube


LA PETITE FILLE QUI N'AVAIT PAS SOMMEIL

JE SUIS À VOTRE ÉCOUTE...

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Après la présentation des petits livres rouges, voici le blog !



LE POST DU MOIS.

AU JOLI MOIS DE MAI ...LES MÈRES ET LES MAMANS SONT À L'HONNEUR !

  La femme, en devenant mère , se sent responsable de tout et à vie ! et les relations avec ses enfants ne sont pas toujours simp...

lundi 28 février 2022

SUJET D' ACTUALITÉ / LA GUERRE EN UKRAINE / AVEC LES ENFANTS, COMMUNIQUER OU SE TAIRE ??

La guerre en Ukraine. "C'est en expliquant qu'on rassure".

« Pourquoi il y a la guerre ? », « pourquoi la Russie attaque l’Ukraine ? », « C’est Poutine le méchant alors c’est qui les gentils ? », « est-ce qu’on va avoir la guerre en France aussi ? » « C'est quoi la guerre ? ». Depuis le 24 février 2022 et l’invasion russe en Ukraine, de nombreux parents ont sans doute fait face à ce genre de questions de la part de leurs enfants.

Après les attentats de Paris, après la pandémie du Covid-19, voilà un nouveau sujet complexe qui va occuper la tête de nos jeunes et qu’il est important d’aborder avec eux, notamment pour mieux rassurer.

@CONSTAT : Pour la énième fois, Géraldine hurle à son époux de ne pas regarder le J.T. de 20 heures avec Fanny, leur petite fille de 8 ans. Il faut dire que la télévision est au cœur du conflit, tout comme la presse, la radio, etc. Bref, la guerre, on en cause, on la voit, on l'entend.  Les mêmes images repassent en boucles , faisant croire chaque fois à de nouveaux incidents ... Les enfants entendent les informations, même si vous les voyez occupés à jouer ," ils ont les oreilles qui traînent ! ", ils partagent nos émotions. Ils vont en parler avec leurs copains dans la cour de l'école. Les enseignants vont en parler à leurs élèves ...L'anxiété , la peur , l'angoisse peuvent s'emparer d'eux , sentiments qu'ils n'exprimeront pas forcément avec des mots, mais à travers des comportements . 

💁Alors que faire ? communiquer ou se taire ?

Informer et protéger constituent un début de réponse, d'après le psychanalyste Serge Tisseron.

 Face aux médias, le parent a un rôle d'éducateur et non de prescripteur. L'enfant est conscient d'une situation particulière, inutile donc de vouloir la nier. Il ne s'agit en aucun cas d'interdire, ni de vouloir informer sans demande de vos bambins. Eduquer, c'est se mettre à l'écoute. Vous allez pouvoir l'aider à comprendre et prendre du recul.,,en établissant la communication avec lui . « C'est quoi la guerre ? » « C'est un conflit armé entre deux pays...» ...

 La communication est indispensable entre l’adulte et l’enfant quand des événements d’importance surviennent.

En ces périodes d’incertitudes et de tensions, les enfants doivent recevoir des informations réelles, vraies et une aide appropriée afin de trier la masse informe de renseignements et idées qui leur parviennent.

* voici quelques pistes :

 1. Ecouter et réagir sans orienter ou diriger la conversation:

°Calez vous sur ce que l’enfant sait de la situation et sur l’intérêt qu’il y porte. Faites l’effort de répondre dans un fond et une forme adaptés à son niveau de compréhension et d’émotivité.  

°Essayez de répondre aux questions même si elles vous paraissent à vous-même difficiles ou perturbantes. N’écartez aucune question ou sujet en déclarant « ça n’est pas important » ou « ne parlons pas de cela ». Si votre enfant a soulevé la question elle mérite réponse. Si vous ne savez pas la réponse, ayez l'honnêteté de le lui dire et de chercher cette réponse et de lui donner plus tard , pour ne pas trahir sa confiance.

°Evitez bien sûr  les effets dramatiques ou descriptions trop détaillées d’évènements complexes, par exemple les effets des armes non conventionnelles; rappelez vous qu’il faut apaiser l’enfant.

 2. En parler / communiquer / mot de l'année sur le blog !

"Tant qu'on n'a pas parlé avec l'enfant, on ne sait pas ce qui le malmène" affirme Serge Tisseron. Sur la guerre, autant établir la communication  pour pouvoir dédramatiser. 

 En premier lieu, il faut tenir compte qu'enfants et adultes ne sont pas bouleversés par les mêmes images ou informations. Les facteurs anxiogènes sont différents. Par exemple, Pierre 8 ans, va être choqué par un jouet abandonné dans des décombres ou un enfant qui pleure. Une discussion autour des images qui sont traumatisantes est alors nécessaire.

 Vous pouvez aussi lui expliquer que ça ne se passe pas ici, qu'il n'y a aucun risque de bombardements sur sa maison, ni celle de son copain. Ou bien lui faire remarquer que certaines images sont vues à plusieurs reprises, que ce sont donc les mêmes. 

Avec le thème de la guerre, celui de la mort est quasi inévitable. C'est l'occasion également d'aborder le sujet. «Est-ce qu'on va mourir ?» « on va tous mourir un jour , où, quand et comment je ne sais pas  » « On ne meurt que quand on a fini de vivre »...disait Françoise Dolto . Consulter la réflexion du mois précédent sur ce blog : l'enfant face au deuil : trouver les mots justes.

Dialoguer , communiquer : Rien n’est pire que laisser l’enfant face à ses doutes et ses questions. « Les enfants sont de véritables éponges, ce n’est pas nouveau ! Il faut les ménager , surtout les plus jeunes, mais tout de même parler, expliquer, car c’est en expliquant qu’on se rassure ».  

 Sigmund Freud : « Du moment que quelqu’un parle, il fait clair. »

« On ne s’adresse pas aux enfants comme on s’adresse aux adultes » Il est tout à fait possible de parler d’un sujet aussi complexe que la guerre avec des mots simples. La preuve avec certains médias,  comme Le Petit Quotidien, journal d'informations,  spécialement adressé aux enfants.

Nous, les adultes, on peut se poser 1 000 questions, mais inutile de leur bourrer la tête avec des "si, et si, et si." Les peurs ou les doutes qu'on peut avoir, il faut savoir les garder pour nous car les enfants, eux, ne comprennent pas forcément l'hypothétique et prennent pour argent comptant la parole de leurs figures d'autorité (parents et enseignants).

Aborder la conversation de façon plus philosophique, est une  belle façon d’accompagner notre enfant dans la construction de son esprit critique. Il peut être intéressant de compléter les faits vérifiés avec des questions ouvertes, permettant une réflexion plus grande, auxquelles vous pourrez répondre en famille sous forme de discussion. Certains sujets pourraient être développés, comme la paix, l’usage de la force ou encore la question des frontières.

Par exemple, se demander ce que chacun et chacune peut faire, à son niveau, pour construire et conserver la paix dans notre vie personnelle, ou même au sein de notre cocon familial.

3. Prendre du recul

"Quand on est abreuvé d'images de guerre, de couvertures de magazine ou de messages radiophoniques très évocateurs, il faut prendre de la distance", prévient Serge Tisseron. 

L'enfant dispose de plusieurs méthodes pour le faire, hormis la parole. Il peut aussi dessiner l'information. Si votre petit dernier gribouille bombes et avions, pas de panique. Ne pensez pas qu'il est en proie à des pulsions morbides, ou qu'il affirme son penchant pour la guerre. Non ! Tout simplement il extériorise en mettant en scène l'information. C'est très positif. "Tout ce qui concerne la transformation de l'image est sain", confirme Serge Tisseron. La deuxième possibilité est de mettre en jeu. Alors s'ils se mettent à jouer à la guerre, c'est leur façon de "détoxiquer".

 4. Protéger et rassurer.

La guerre est inquiétante, même si nous sommes adultes. Qu'elle ait lieu sur un territoire éloigné ou plus près de nos portes. Pour nous, spectateurs d'un jeu vidéo grandeur nature, c'est aussi un facteur anxiogène important. Or votre état émotionnel est un point de repère pour vos bambins : une sorte de baromètre. Si papa ou maman s'inquiète, c'est qu'il y a du danger, pense-t-il. Dans ce cas, vous pouvez lui expliquer que la situation vous angoisse, tout simplement. Mais vous devez le dire tout en assumant votre rôle protecteur : lui assurer que vous veillez sur lui, sur sa sécurité. Quoiqu'il arrive, les parents doivent jouer leur rôle de contenant émotionnel . Les enfants doivent pouvoir exprimer leurs émotions : peur, tristesse, colère ...

Le discours doit  rester rassurant. Comme pour les attentats de Paris en 2015 ou la pandémie depuis deux ans, « la guerre qui vient de se déclencher peut venir réactiver cette angoisse innée qu’on a tous concernant la mort ». A propos de la mort, consultez la réflexion du mois précédent sur ce blog : l'enfant face au deuil : trouver les mots justes.

« Il faut expliquer aux plus jeunes que oui, c’est grave une guerre, puisque ça touche plusieurs pays, mais aussi rappeler que l’humanité en a connu beaucoup », .  L’objectif est de montrer à l’enfant que lui, à son échelle n’a rien à craindre « car on va tout faire pour que ça s’arrange ».

« Il faut avoir un discours rassurant sans nier qu’il va se passer quelque chose, mais qu’éventuellement, il va y avoir une solution. »

Protéger son enfant, c'est aussi lui éviter cette déferlante anxiogène qui envahit les ondes et encombre les conversations. Si vous tenez vraiment à vous informer par les médias, préférez lire qu'écouter/voir , quand des petits oreilles et yeux traînent dans les parages !

La communication non verbale est également très rassurante : un câlin , un regard , des mains qui se touchent ...tout cela prouve à l'enfant que vous êtes là , que vous l'assurez de votre attention et de votre protection .



5.Reconnaître aussi ses limites...

Par ailleurs, il est tout aussi important de parler de ce qu’on sait que de mentionner ce qu’on ne sait pas. « On ne peut pas apporter que des réponses, qui plus est avec une actualité qui évolue jour après jour, à l’image du Covid ».

C’est l’occasion, alors, d’inverser la situation et de poser aussi des questions à l’enfant : et toi, tu en penses quoi ? Qu’est-ce que tu ressens ? Ça te fait peur ? Autant d’astuces pour échanger avec lui de la meilleure des manières.

 6. Répéter plusieurs fois les informations.

La répétition apporte aux enfants un sentiment de sécurité. Souvent l’enfant demandera lui-même que vous répétiez une explication qu’il a déjà entendue de vous. Soyez patients devant ces demandes et, répétez plusieurs fois les mêmes informations.
 
Besoin d’aide pour trier les informations et décrypter l’actualité à hauteur d’enfant ? Sachez qu’il existe plusieurs médias spécialement consacrés aux plus jeunes. : le journal le Petit Quotidien (pour les 6-10 ans), mais on peut aussi citer la plateforme 1jour1actu éditée par le groupe Milan jeunesse et destinée aux 8-12 ans. Autre source d’info pour les plus jeunes : les podcasts Franceinfo junior ou encore l’émission télévisée 1 jour, 1 question sur France 4. 

 
 
 

POUR EN SAVOIR PLUS :

@Yapaka ..UNE LETTRE AUX PARENTS !..

"Etre parents, c'est... Rassurer"
Quand des événements graves, des violences, des accidents ou catastrophes surviennent, les enfants entendent les informations, partagent nos émotions. Ils découvrent et participent aux rituels qui permettent de continuer à vivre ensemble et de traverser les épreuves rencontrées par leur famille, leur quartier, leur pays ou ailleurs dans le monde. Quand ces choses arrivent, il est important que l’enfant sente auprès de lui la présence d’adultes sur qui compter et à qui parler. Même si nous ne comprenons pas toujours la situation qui conduit à tant de tristesse et de révolte, il nous revient de veiller sur l’enfant et de tout mettre en œuvre pour lui permettre de vivre sa vie le plus sereinement possible. Maintenir la vie quotidienne (l'école, les activités...) le rassure.
Ce n’est pas à lui de porter la charge de sa propre protection. Laissons son enfance à chaque enfant et tenons notre place adulte. À chacun son âge.
Extrait du livre "Etre parents, c'est..." disponible gratuitement au 0800/20 000 ou sur www.yapaka.be/livre/livre-etre-parents-cest
Illustration tirée du dépliant illustré "Comment aider les enfants en cas d'événement tragique ?" disponible gratuitement sur http://www.yapaka.be/.../texte-comment-aider-les-enfants..

@ LES CONSEILS DE Laurence Dudek, psychothérapeute - psychopédagogue

Attention aux enfants !
Une fois de plus, comme chaque fois que l'information médiatique s'emballe, je vous invite expressément à protéger les enfants de cette déferlante anxiogène qui envahit les ondes et encombre les conversations. Si vous tenez vraiment à vous informer par les médias, préférez lire qu'écouter/voir, quand des petites oreilles et yeux traînent dans les parages.
Si vous avez vous-même été empoisonné(e) par des suggestions mortifères, qui produisent un dialogue interne anxieux et plein de fatalité, une fois de plus pensez à vos enfants. Soyez les gardien(ne)s de leur innocence et laissez-les croire à ce qui est à leur portée : votre présence, leur existence, les rituels du quotidien, le bleu du ciel ou le gris des nuages... et l'insouciance qui leur est due.
Et dès que vous le pouvez, faites le choix de vous offrir entre adultes (en commençant par vous-même) la même bienfaisance salutaire, en ne vous délestant pas de vos encombrants au détriment du bien-être d'autrui. Préférez pour ce faire un cadre conscient, là où vous pouvez être aidé(e) vraiment, en parlant de vous et de vos émotions. Une santé mentale idoine est un contexte favorable pour aborder toutes les crises, quelle que soit leur dimension. Prenez soin de la vôtre !
Avec toute ma bienveillance. 
 
 
Pour conclure, il est important de parler à ses enfants de la guerre, et ce pour deux raisons principales: protéger leur santé mentale en leur permettant de s'informer et d'exprimer leurs sentiments, et s'assurer qu'ils vous aient identifié·e comme la personne de référence à laquelle s'adresser «quand le monde est dur, et difficile à interpréter».
 

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