* JUILLET -AOÛT ...
Voici l 'été ...le temps de s'accorder une pause
seul (e) ,en couple ou en famille...
Voici l 'été ...le temps de s'accorder une pause
seul (e) ,en couple ou en famille...
sachez ralentir votre rythme ..et celui de vos enfants !
apprenez à "les lâcher "
vivez l'instant présent en pleine conscience !
rêvé ...mais très angoissant pour les parents à moins qu'ils ne transforment leurs propres peurs en outils d'épanouissement !!
* Oui ! car la peur est inévitable ...peur réflexe tout à fait normale ,
indissociable - au même titre que l'amour - de la fonction parentale ...
* Oui , mais , la peur " raisonnable "...qui permet de protéger l'enfant , de l'avertir du danger et qui permet de lui transmettre la notion de risque ...par ex .:l'enfant apprend à ne pas se pencher à la fenêtre ou à ne pas mettre ses doigts dans les prises de courant ...véritable éducation à la sécurité .
« C'est
parce qu'il est confronté à l'anxiété de ses parents ou des adultes ,
que l'enfant développe des stratégies de survie . Et son âge ne change
rien à l'affaire , la question reste celle du LIEN PARENT - ENFANT : petit ou ado , seul l'objet de la peur change , pas sa nature » .Daniel Bailly - psychiatre -
* À propos de CE LIEN ....Daniel
Marcelli - pédopsychiatre - et Isabelle Filliozat - psychologue
clinicienne et psychothérapeute - " balisent " le parcours que les
parents doivent accompagner :
* de 0 à 12 mois : " une question de contact "
car pour un bébé , son parent (père ou mère ) et lui ne font qu'un ! n'ayant pas une
conscience directe de son environnement , son sentiment de sécurité
dépend de 2 choses =
1.
la prédictibilité relative ...c'est-à dire une vie réglée et rythmée
sans surprise
( câlins ,toilette , sommeil, repas ) où tout se répète sans changements majeurs , une routine qui permet au bébé d'avoir confiance en ceux qui prennent soin de lui.
( câlins ,toilette , sommeil, repas ) où tout se répète sans changements majeurs , une routine qui permet au bébé d'avoir confiance en ceux qui prennent soin de lui.
2.
la cohérence relationnelle ...c'est-à dire les émotions des parents
cohérentes avec l'expression du visage et des gestes ; tout double
message inquiète et insécurise le bébé .
+ attitude à favoriser
: la sécurité se construit dans le contact physique : regards , gestes
et mots aimants ...prendre le bébé dans ses bras , le masser , lui
parler doucement sont des messages qui expriment :« je t'aime , tu as
une place dans ma vie, je prends le temps de m'occuper de toi et c'est
un plaisir pour moi » ............BASE DE SÉCURITÉ .
* de 12 mois à 3 ans : " entre aventure et sécurité " ;
l'enfant découvre l'autonomie de déplacement , marcher seul vers des
lieux et des objets qu'il souhaite découvrir ; la confiance en soi à cet
âge repose sur la capacité des parents à accompagner l'exploration de
manière encourageante et sécurisante ...
." portage mental " = équilibre entre stimulation et protection .
« oui ,tu peux le faire seul » , « non , tu es encore trop petit » .
Si les parents sont trop inquiets , l'enfant risque de douter de ses compétences ; si la latitude d'action est trop grande et surtout si accident , l'enfant doutera de la capacité de ses parents à " sécuriser " son environnement .Il est nécessaire d'accompagner l'enfant dans la découverte des dangers ...c'est cela L'INDISPENSABLE ÉDUCATION À LA SÉCURITÉ .
." portage mental " = équilibre entre stimulation et protection .
« oui ,tu peux le faire seul » , « non , tu es encore trop petit » .
Si les parents sont trop inquiets , l'enfant risque de douter de ses compétences ; si la latitude d'action est trop grande et surtout si accident , l'enfant doutera de la capacité de ses parents à " sécuriser " son environnement .Il est nécessaire d'accompagner l'enfant dans la découverte des dangers ...c'est cela L'INDISPENSABLE ÉDUCATION À LA SÉCURITÉ .
+ attitude à favoriser
: lui confier des petites tâches ( s'habiller ou se laver tout seul )
est pour l'enfant une source de fierté personnelle et d'autonomisation .
Autour de 18 mois , c'est la phase classique de l'affirmation de soi ,
l'enfant doit pouvoir faire des choix personnels le plus souvent
possible : choisir entre 2 paires de chaussures , entre 2 livres ...car
en affirmant ses goûts , il apprend à se vivre comme SUJET .Respecter son désir de faire "tout seul "!! A noter que les enfants qui fréquentent la crèche acquièrent beaucoup plus rapidement une certaine autonomie ...
* de 3 à 6 ans : " un besoin de solitude "
; un événement important :l'entrée à l'école ...qui permet à l'enfant
de se découvrir membre d'un groupe de pairs et assujetti à une autre
autorité que celle de ses parents .L'enfant en difficulté avec ses
camarades ou avec le rythme scolaire doit sentir que ses parents ont le
désir et la capacité de lui venir en aide . Ecouté , compris et soutenu ,
il renouvelle sa confiance dans ses parents donc en lui; autour de 3 ou
4 ans , l'enfant commence à désirer du temps pour lui , sans la
présence des parents, pour évacuer les tensions , pour se réapproprier
son espace ;un enfant qui sait alterner les moments de solitude et les
échanges relationnels deviendra un adulte autonome qui saura entendre
ses désirs , dire non sans culpabilité et puisera en toute confiance
dans ses ressources intérieures .
+attitude à favoriser
: une écoute vigilante indispensable pour capter sans le harceler les
messages qu'il envoie ( relations sociales , vie à l'école , craintes ,
doutes ...) ; à cet âge , il exprime aussi sa créativité dans tous les
domaines ( objets , dessins ..) qu'il soumet à l'évaluation parentale
...mieux vaut éviter les compliments excessifs qui le font douter du
jugement de ses parents et brouillent son auto-évaluation ...les
critiques systématiques et les conseils autoritaires
( "fais comme ceci , ne fais pas comme cela " ) peuvent le conduire à faire plaisir à ses parents plus qu'à lui - même et à mettre en cause ses compétences ; cultiver sa confiance en lui ....le maître mot : CONFIANCE !
( "fais comme ceci , ne fais pas comme cela " ) peuvent le conduire à faire plaisir à ses parents plus qu'à lui - même et à mettre en cause ses compétences ; cultiver sa confiance en lui ....le maître mot : CONFIANCE !
* de 6 à 10 ans : " le goût des autres" ...les
parents ne sont plus les seuls miroirs ni les seuls repères de l'enfant
...Egalement évalué par ses camarades et noté par son professeur , il
doit faire avec SES compétences et SES fragilités , il doit apprendre à
faire SA place au milieu des autres ; trop protégé par ses parents ou
trop "lâché " , l'enfant appréhende avec anxiété le monde extérieur , la
vie sociale ....une mauvaise note devrait toujours donner aux parents
l'occasion de comprendre l'origine de l'erreur dans le comportement ou
la compréhension de l'enfant .
Un parent convaincu que c'est grâce aux erreurs que l'on progresse ne fera pas douter l'enfant de ses capacités et le rendra plus responsable à l'égard de son travail .
Un parent convaincu que c'est grâce aux erreurs que l'on progresse ne fera pas douter l'enfant de ses capacités et le rendra plus responsable à l'égard de son travail .
Acet
âge , les amitiés sont éphémères . les phénomènes d'exclusion fréquents
: la capacité de l'enfant à gérer ces crises dépend de la capacité de
ses parents à ne pas confondre soutien et ingérence .
+ attitude à favoriser :
une vigilance discrète et une écoute attentive ; témoigner de
l'empathie à l'enfant renforce sa sécurité intérieure;
l' adulte le soutient mais lui laisse un espace suffisant pour pouvoir dire "JE"; en revanche , lui donner des modes d'emploi relationnels ( "montre-toi plus ferme ") ou le laisser gérer SEUL sa vie ( " réglez ça entre vous " ) risquent de le faire douter de lui ....CONFIANCE EN SOI , ESTIME DE SOI .
l' adulte le soutient mais lui laisse un espace suffisant pour pouvoir dire "JE"; en revanche , lui donner des modes d'emploi relationnels ( "montre-toi plus ferme ") ou le laisser gérer SEUL sa vie ( " réglez ça entre vous " ) risquent de le faire douter de lui ....CONFIANCE EN SOI , ESTIME DE SOI .
* de 10 à 13 ans : " les premières gammes ".Plus
tout à fait enfant , pas encore adolescent , " l'adonaissant " -
expression du sociologue François de Singly - est particulièrement
attentif au jugement de ses camarades et à son intégration dans le
groupe : il prend ses distances avec ses parents ( code vestimentaire ,
puberté , 1ers émois amoureux ) ...il est à la fois soucieux de ne pas
décevoir leurs attentes ,et à l'affût de leurs critiques et désireux de
leur prouver son autonomie . Cette autonomisation sera facilitée si ses
parents lui laissent un espace à la fois libre et balisé pour qu'il
puisse " faire ses gammes "!
+ attitude à favoriser
: lui laisser gérer son argent de poche , l'informer sur tous les
changements physiques et psychiques liés à la puberté , lui confier des
tâches domestiques ( ménage de sa chambre, petites courses etc ...) à la
fois pour lui signifier son importance et sa capacité à assumer des
responsabilités ...2 piliers de la confiance en soi . COMMUNICATION ET
DIALOGUE , RÈGLES ET CONFIANCE .
* de 14 à 18 ans : l'ado est chahuté par ses doutes sur ses compétences .
+ attitude à favoriser
: l'encourager à poursuivre des activités sportives , ludiques ou
culturelles , ne pas trop focaliser sur les seuls résultats scolaires.
L'ado a besoin d'espaces d'affirmation de soi ...s'intéresser à ses
goûts sans les juger , solliciter ses conseils , valoriser sa prise
d'initiative constituent de "précieuses béquilles narcissiques " -
Patrice Huerre psychiatre - « tu es quelqu'un qui a de la valeur»
VACANCES rime avec EXPÉRIENCES ..
Les conditions de vie étant modifiées - davantage de temps , moins
de stress , plus d'activités , des horizons nouveaux - l'espace des possibles s'ouvre !
Les activités sont différentes , une liberté plus grande ..et les
inquiétudes parentales s'amplifient ! Paradoxalement, le temps des
vacances représente pour ces pères et mères à l'emploi du temps
surchargé , un moment espéré , parfois idéalisé : « on va se rattraper ,
on va compenser , on va faire plein d'activités» ....pour répondre à
la culpabilité de ne pas se sentir " bons parents" le reste de l'année
...d'où une forte demande affective de la part des adultes , en attente
de retour d'amour , de fusion ...et les besoins des uns et des autres ne
coïncidant pas toujours , les vacances génèrent les conflits et les
frustrations !!
* LES PARENTS DOIVENT DONC APPRENDRE À SE "DÉPARENTALISER"
...en
transformant leurs peurs en dynamique éducative , en sortant de
l'enfant
" fantasmé " pour identifier leur enfant "réel" , en estimant le danger à sa propre valeur - les dangers réels ne sont pas si nombreux , encore faut-il les évaluer selon l'âge de l'enfant - Souvent , les parents ont une représentation anachronique des capacités de leurs petits ...parfois pas si petits face au danger ...et les enfants ont conscience de leurs capacités ...ce qui fait naitre les conflits familiaux .
A L'ENFANT DE SIGNIFIER QU'IL A GRANDI ET AUX PARENTS D'APPRENDRE À SE "DÉPARENTALISER " C'EST À DIRE À LÂCHER !
En développant notre confiance en notre enfant , nous l'aidons à renforcer sa capacité de réaction ; ainsi en ne le surprotégeant pas , nous le protégons !
La juste attitude : un travail d'observation et d'accueil pour permettre "au jeune explorateur " de se rassurer ...l'enfant explore le monde à partir de la base de sécurité représentée par l'adulte : il s'échappe , il revient se réfugier , il repart et agrandit peu à peu le terrain acquis .
" fantasmé " pour identifier leur enfant "réel" , en estimant le danger à sa propre valeur - les dangers réels ne sont pas si nombreux , encore faut-il les évaluer selon l'âge de l'enfant - Souvent , les parents ont une représentation anachronique des capacités de leurs petits ...parfois pas si petits face au danger ...et les enfants ont conscience de leurs capacités ...ce qui fait naitre les conflits familiaux .
A L'ENFANT DE SIGNIFIER QU'IL A GRANDI ET AUX PARENTS D'APPRENDRE À SE "DÉPARENTALISER " C'EST À DIRE À LÂCHER !
En développant notre confiance en notre enfant , nous l'aidons à renforcer sa capacité de réaction ; ainsi en ne le surprotégeant pas , nous le protégons !
La juste attitude : un travail d'observation et d'accueil pour permettre "au jeune explorateur " de se rassurer ...l'enfant explore le monde à partir de la base de sécurité représentée par l'adulte : il s'échappe , il revient se réfugier , il repart et agrandit peu à peu le terrain acquis .
LES VACANCES SONT UNE PÉRIODE IDÉALE POUR LUI PERMETTRE
D'ÉPROUVER SES FORCES NOUVELLES , EN ADAPTANT SES CAPACITÉS AUX
DIFFICULTÉS À AFFRONTER LES RISQUES .
À CHAQUE ÂGE ....VOTRE BONNE ATTITUDE :
° 2-4 ans ...les 1 ères découvertes...et s'il se perdait sur la plage ? et s'il se noyait ? QUE FAIRE ? organiser
une surveillance rapprochée mais en lui permettant d'étendre son
terrain de découverte , de prendre des risques à sa mesure ; entre 2 et 4
ans , l'enfant qui n'a pas conscience du danger , s'échappe pour aller
voir plus loin , c'est à dire à l'autre bout de la plage : n'ayez pas
peur de le laisser essayer en ayant par ex . au préalable, fait le chemin
avec lui ou en lui fixant un endroit où il devra s'arrêter « tu vas
jusque là ...» ; gardez en mémoire la phrase de Winnicott « la mère ( ou le père )
partage avec son petit enfant un morceau de monde , l'agrandissant
pourtant très progressivement afin de satisfaire la capacité
grandissante de l'enfant à jouir du monde .»
° 6-10 ans ..l'après-midi au centre aéré , ou au club de sport ...et si les règles de sécurité n'étaient pas respectées ? et s'il avait un accident ?
QUE FAIRE ? faire confiance au personnel d'encadrement , admettre que vous ne pouvez jamais protéger complétement votre enfant et que le risque 0 n'existe pas , admettre que la prise de risque fait partie de l'apprentissage :l'enfant doit éprouver le danger pour y faire face ...sinon la surprotection empêche , voire même interdit à son enfant de grandir !
QUE FAIRE ? faire confiance au personnel d'encadrement , admettre que vous ne pouvez jamais protéger complétement votre enfant et que le risque 0 n'existe pas , admettre que la prise de risque fait partie de l'apprentissage :l'enfant doit éprouver le danger pour y faire face ...sinon la surprotection empêche , voire même interdit à son enfant de grandir !
° 5-12 ans ...le 1er départ en colo , les 1ères vacances sans les parents ..
et s'il n'était pas bien surveillé ? et s'il se trouvait face à un problème d'abus sexuel? QUE FAIRE ?
faire confiance ; quand l'enfant est loin d'eux , les parents ont le
sentiment qu'il ne sera pas capable d'affronter l'inconnu ( attention de
ne pas confondre dangers réels et projection de nos propres peurs ! )
;« les dangers réels sont les dangers de mort et les dangers sexuels :
il faut les nommer , les expliquer et faire confiance aux capacités de
compréhension des enfants» conseille JP Winter - psychanalyste -
La confiance n'est pas donnée , elle se conquiert en acceptant la séparation ( grandir , c'est se séparer ) , en parlant avec son enfant , en refusant l'invasion des pensées morbides , en rationalisant ( comparez le nombre d'accidents ou de problèmes survenus en séjour avec le nombre de colos ou de centre ouverts chaque été ) .
La confiance n'est pas donnée , elle se conquiert en acceptant la séparation ( grandir , c'est se séparer ) , en parlant avec son enfant , en refusant l'invasion des pensées morbides , en rationalisant ( comparez le nombre d'accidents ou de problèmes survenus en séjour avec le nombre de colos ou de centre ouverts chaque été ) .
° 10-14 ans ...la fête chez un copain ... mais qui est-ce ? que font ses parents? QUE FAIRE ?
poser des balises , pas question de laisser "
l' adonaissant " partir à l'aventure , quelle que soit sa demande, mais pourquoi refuser ? mener l'enquête ...pour dissiper les craintes , rencontrer le copain , si possible ses parents , mettre une limite horaire : sanction si non respect .
« L'adonaissant doit quitter peu à peu ses parents tout en étant surveillé par eux. Refuser les risques de l'adonaissance et de l'adolescence , c'est craindre que son enfant ne sorte pas de l'enfance » prétend François De Singly - sociologue - spécialiste de la famille -
l' adonaissant " partir à l'aventure , quelle que soit sa demande, mais pourquoi refuser ? mener l'enquête ...pour dissiper les craintes , rencontrer le copain , si possible ses parents , mettre une limite horaire : sanction si non respect .
« L'adonaissant doit quitter peu à peu ses parents tout en étant surveillé par eux. Refuser les risques de l'adonaissance et de l'adolescence , c'est craindre que son enfant ne sorte pas de l'enfance » prétend François De Singly - sociologue - spécialiste de la famille -
° 16 - 17 ans ...la sortie en boite ! ..et s'il avait un accident de scooter ? de voiture ? et s'il touchait à la drogue ? et s'il n'utilisait pas un préservatif ?
QUE FAIRE ? impossible d'interdire au nom du principe éducatif fondamental : l'adéquation entre le risque et la capacité de l'adolescent à l'affronter et à le maitriser ; nécessité de lui expliquer la réalité du danger :les risques de mort
( accident , alcool , drogue ...) et les risques liés à la sexualité ; nécessité de passer un contrat « je te fais confiance , mais je te donne des limites que tu dois respecter» ...et sanctionner si non - respect !
QUE FAIRE ? impossible d'interdire au nom du principe éducatif fondamental : l'adéquation entre le risque et la capacité de l'adolescent à l'affronter et à le maitriser ; nécessité de lui expliquer la réalité du danger :les risques de mort
( accident , alcool , drogue ...) et les risques liés à la sexualité ; nécessité de passer un contrat « je te fais confiance , mais je te donne des limites que tu dois respecter» ...et sanctionner si non - respect !
LE RESPECT DES RÈGLES EST UN GAGE DE TRANQUILLITÉ POUR TOUS : VOUS POUVEZ LÂCHER , IL SE SENT PROTÉGÉ - même s'il râle violemment !
ATTENTION : PAS DE VACANCES POUR LA SÉCURITÉ !!!http://www.psychologies.com/Famille/Enfants/Apprentissage/Articles-et-Dossiers/Enfants-pas-de-vacances-pour-la-securite
JE VOUS SOUHAITE
UN EXCELLENT ÉTÉ ...
..ET VOUS DONNE RENDEZ-VOUS ICI SUR CE BLOG ...
FIN AOÛT
POUR PRÉPARER LA RENTRÉE SCOLAIRE !!
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